Cette fête marque le retour du défilé de chars au cours de la fête. Le comité présidé par M. Henri MAURILLEGANT a décidé de reprendre cette tradition qui a fait le succès des fêtes nexonnaises pendant les années 1960. Une fois les carcasses de chars achetées et réparties entre les quartiers il faut se mettre à la confection des fleurs en papier. L’enthousiasme des nombreux bénévoles a permis la réalisation de 16 chars. Partant du château, les chars traversent le bourg jusqu’au moulin Barlet et remontent vers le centre où la circulation automobile a été interdite pendant le défilé.
Il n’y a pas de fête sans bal. Le parquet est tout près des manèges, sur la place de la république. A la fin de l’année 1973 M. BEYLIER avait cédé son affaire d’organisateur de bal sur parquet à M. ROYER et il fut difficile au comité de faire affaire avec le nouveau propriétaire. N’ayant pas pu s’entendre en 1974 le comité avait loué un parquet à un autre entrepreneur tandis que M. ROYER, considérant qu’il avait un contrat pour être présent aux fêtes de Nexon avait installé le sien du coté du champ de foire, parallèlement aux barres d’attache du bétail. Cette concurrence était nuisible aux finances du comité qui a terminé l’année 1974 avec un déficit. Au début de l’année 1975 une médiation avec le maire René REBIERE est organisée avec M. ROYER. Sa proposition est qu’il accepte de ne pas venir à la fête à Nexon si le comité lui paye le cachet de son orchestre soit 1 800 francs. Finalement un accord est obtenu et la fête sera un succès.
Les chars traversent le bourg avec un public présent tout le long du parcours. La foule est plus nombreuse autours de l’actuelle place Fratellini sur laquelle sont installés les principaux manèges, auto tamponnantes, chenille, manège enfantin, stand de tir, loteries…
Les chars passent pour aller vers la gare, le public est moins nombreux…Le passage dans le bourg permet de retrouver les commerces qui existaient alors, la boucherie charcuterie BOSBATY, les primeurs de Nenette CLERMONTEIL, la bijouterie DESPLANCHES, les nouveautés PEYRICHOUX… et plus loin dans la rue Gambetta les aliments pour animaux REALLE …
Et la reine de la fête avec ses dauphines clos le défilé.
La descente vers la gare pour le moulin à vent
Après avoir fait demi tour au bas de l’avenue de la gare devenue Charles de Gaulle on retrouve les chars accompagnés des 3 troupes de majorettes qui ont été invitées à la fête.
Ici ce sont les majorettes de Nexon, les coccinelles, sur leur char.
Et la reine ferme la marche…
On retrouve les chars et les majorettes dans la montée vers le bourg …
Le défilé se termine, la reine va quitter son trône…
Pour ce défilé nous avons la chance d’avoir un petit film. Il a été réalisé par Jean ATZEMIS qui a filmé le défilé depuis son domicile, avenue Charles de Gaulle. Il a déposé son film à la Mémoire Filmique de Nouvelle-Aquitaine. Cette structure a été réalisée àl’initiative de la Cinémathèque de Nouvelle-Aquitaine (Limoges) qui a réuni le Fonds Audiovisuel de Recherche (La Rochelle), La Mémoire de Bordeaux Métropole (Bordeaux) et Trafic Image (Angoulême) pour former un réseau.
Qui était Annie FRATELLINI ? Comment se fait-il quelle soit venue à Nexon ? Le 9 août 1997, une place de Nexon porte son nom.
I- Qui était Annie FRATELLINI ?
Annie FRATELLINI est une artiste aux talents variés, née à Alger le 14 novembre 1932 elle décède à Neuilly-sur-Seine le 1er juillet 1997.
Son père, Victor FRATELLINI (1901 – 1978) était clown et trapéziste. Sa mère, Suzanne ROUSSEAU (1913 – 1999) était la fille de Gaston Rousseau, dernier directeur du « Cirque de Paris », cirque en dur situé près des Invalides qui a été détruit le 15 janvier 1932. Elle est née à Alger car son père y était en engagement.
« Elle est élevée à la dure par son père qui l’enfermait dans sa chambre pour qu’elle travaille la musique. Quand il entendait le métronome s’arrêter, il ouvrait la porte. Il la surveillait. Il fallait qu’elle apprenne le métier et elle a commencé à travailler et à gagner de l’argent dès l’âge de 13-14 ans. Tous ses cachets étaient remis à la famille. Annie voulait aller à l’école, étudier, être comme toutes ses amies… » (Entretien avec Valérie FRATELLINI dans Hommes & Migrations 2017/4, pages 155 à 157). Elle va à la fois à l’école communale du Perreux et commence à apprendre les métiers du cirque : acrobatie, danse, musique.
En 1948 elle entre en piste pour la première fois à Medrano.
Annie Fratellini intervient en seconde partie
Mais Annie se sentait comédienne et chanteuse et elle a fui le poids de la famille, entièrement engagée dans le monde du cirque. Elle rencontre Philippe BRUN. Il est né en 1908, c’est un grand trompettiste de Jazz qui a monté un orchestre avec Django REINHARDT et Stéphane GRAPPELLI. Elle l’épouse en premières noces, le 13 Avril 1953. Il a 45 ans, elle en a 21. Ils se produisent ensemble dans un numéro musical à l’Olympia en 1955 et 1956. Elle chante dans son orchestre qui joue dans des boites de jazz et des cabarets, en France et en Suisse. Il la fait travailler et, avec son orchestre, elle enregistre ses premiers disques.
1er 45 Tours en 1957
1er Album 33 Tours en 1958
A partir de 1958 elle n’enregistre plus avec Philippe BRUN mais avec une section rythmique composée par Kenny CLARKE ou Sacha DISTEL est à la batterie. Elle chante des chansons écrites par Charles AZNAVOUR, Gilbert BECAUD, Georges GERSHWIN, Charles TRENET, Henri SALVADOR, Boris VIAN…
Annie FRATELLINI accompagnée de Kenny CLARKE à la batterie, Raymond FOL au piano, Pierre MICHELOT à la contrebasse, Roger GUERIN à la trompette et Sacha DISTEL à la guitare.
Elle rencontre en France un petit succès aussi, en 1965, elle part en Roumanie effectuer une tournée ou elle remportera un grand succès.
Rentrant en France elle décide de monter un orchestre de dixieland et passe avec succès à Bobino en 1970, puis entame des tournées dans les cabarets et les boites de jazz… Elle enregistre chez Decca ou chez Ducretet-Thomson de nombreux disques
Au total elle a enregistré 37 disques : 3 albums, 32 disques 45 tours et 2 compilations.
En même temps que sa carrière de chanteuse elle tente sa chance au cinéma. En 1957 elle tourne dans un film en noir et blanc, « Rascel-Fifì » de Guido LEONI dans lequel elle est Barbara, une ballerine de boite de nuit. Puis en 1958 elle est la chanteuse dans « Miss Pigalle » de Maurice CAM et Jeannette dans « Et ta sœur » de Maurice DELBEZ.
Elle rencontre Pierre GRANIER-DEFERRE qui est assistant réalisateur de Marcel CARNE et elle l’épouse. Il lui donne son unique fille Valérie, qui nait le 2 janvier1960. Aujourd’hui Valérie a pris la suite de sa mère et dirige l’Académie FRATELLINI.
Annie continue à tourner. Elle est Mado dans « Zazie dans le métro » de Louis MALLE (1960), Rose dans « Tout l’or du monde » de René CLAIR (1961), et la servante du duc dans « Le Pas de trois » d’Alain BORNET (1964). En 1965, dans le film de son mari, « La Métamorphose des cloportes », elle joue le rôle de Léone, une prostituée.
En 1969 elle est Florence, l’épouse délaissée, dans « Le Grand Amour », que réalise Pierre ETAIX (1928-2016). Passionné par le cirque il connait toute l’histoire de la famille FRATELLINI et tombe vite amoureux d’Annie et il l’épouse.
Dans ce film, Pierre et Florence se marient et vivent une vie douillette chez les parents de Pierre, propriétaires d’une tannerie prospère jusqu’au jour ou la secrétaire de Pierre, la vieille Mme Louise est remplacée par Agnès, une ravissante jeune fille de 19 ans (Nicole CALFAN).
On peut en voir un extrait ici :http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19119172&cfilm=53540.html
Durant l’été 1969, Pierre ETAIX réalise « Pays de cocagne ». Il suit la tournée estivale du Grand Podium d’Europe 1 à laquelle sa femme, Annie FRATELLINI participe. Il recueille le témoignage des participants sur la société dans laquelle ils vivent : les vacances, l’érotisme, le succès artistique, la publicité, la musique, le mariage … et en creux, il dessine le portrait de la France de l’après-Mai 68.
Le film n’est pas apprécié par la critique qui lui reproche sa vulgarité et sa méchanceté et il est boudé par le public.
On peut voir quelques images sur cette vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=1VwN5vXlhUA
A cause du manque de succès de son film il pousse son épouse Annie à revenir vers le cirque. Il lui a dit un jour : « Tu es une Fratellini, tu ne peux qu’être clown. » Pierre outre la réalisation cinématographique était clown, magicien, dessinateur… C’est lui qui a créé les gags de Jacques TATI dans « Mon Oncle ». Il va alors revêtir les habits de clown et devenir un admirable clown blanc sur la piste du cirque Pinder lors de la tournée de 1971 avec son épouse Annie.
Au cours de cette tournée Annie et Pierre remarquèrent qu’il y avait de moins en moins d’artistes français sur les pistes des cirques. Une fois la tournée terminée ils prennent rendez-vous avec Jacques DUHAMEL, alors ministre des Affaires Culturelles. Tous les trois conclurent que le cirque était bien vivant dans les pays où il y avait des écoles. Il était donc urgent de concevoir une école française de cirque.
Pendant ce temps Pierre et Annie continuent à travailler pour le cinéma. En 1971 ils sont acteurs dans le film de FELLINI, « les clowns. Le film provoque la colère d’ÉTAIX : « C’est une vision tellement misérabiliste. Pour FELLINI, les clowns sont soit des alcooliques, soit des débiles… »
Ni lui, ni Annie n’abandonnent totalement le cinéma. En 1990, Pierre joue l’ami d’Henry MILLER et Annie FRATELLINI la patronne d’une maison close dans le film de Philip KAUFMAN, « Henry et June ». Ils ont des second rôles. Ce sera le dernier film d’Annie.
Pendant plus de 10 ans, à la suite d’un imbroglio juridique, les films de Pierre ETAIX ont été bloqués et interdits de diffusion. De nombreuses pétitions ont circulé pour mettre fin à cette absurdité. Parmi elles, celle de Laurent RUQUIER qui a invité Jean-Claude CARRIERE et Pierre ETAIX qui a invité dans son émission, On n’est pas couché, le 2 février 2008 :
En 1973 Jacques DUHAMEL, malade, quitte la politique. Pierre et Annie tentèrent de convaincre les différents directeurs de cirque de soutenir leur projet d’école du cirque. Seul Jean Richard adhère à l’idée et propose même de l’accueillir chez lui à Ermenonville. Mais Pierre et Annie souhaitent installer cette école à Paris.
Pour se rappeler leur talent on peut revoir un duo intemporel sur You Tube ou sur Daily motion : Annie FRATELLINI joue sur un concertina (mini accordéon) un Prélude de Bach que Pierre ETAIX en clown ouvrier vient perturbateur puis il termine en l’accompagnant avec son concertina
Après deux ans de démarches et de nombreux revers, la première école Fratellini-Etaix ouvre dans une Maison pour les Jeunes à Paris. En octobre 1975 un chapiteau, ayant pour nom “Le nouveau Cirque de Paris” est planté dans le 14ème arrondissement ce qui allait devenir le cirque de l’Ecole Nationale.
En 2003 l’École Nationale de cirque devient l’Académie FRATELLINI et s’installe à Saint Denis. L’académie porte aujourd’hui un centre de formation supérieure aux arts du cirque (CFA), qui délivre le Diplôme national supérieur professionnel d’artiste de cirque (niveau licence) après trois années de formation. En plus d’être un lieu de transmission et de formation, l’Académie est un centre de création et de diffusion de spectacles ainsi qu’un pôle d’action artistique et culturelle à l’échelle du Grand Paris. La direction générale est assurée par Stéphane SIMONIN et Valérie FRATELLINI est directrice adjointe et pédagogique.
Et parmi toutes ses activités Annie FRATELLINI a trouvé le temps de passer par Nexon …
II-Comment Annie FRATELLINI est-elle arrivée à Nexon ?
À l’automne 1986, en visite au Salon du Cheval à Paris, Robert LECOMTE, président du comité départemental du tourisme et son directeur, Jacques BOUCHET, s’étaient rendus au stand de l’Ecole Nationale du Cirque Annie Fratellini où se trouvait Jacques GRALL*, enseignant à l’école du Cirque et également éleveur et dresseur de chevaux à Champsac (Haute-Vienne) les présentent à Annie FRATELLINI. Elle leur parle des stages d’été qu’elle organise dans la vallée du Rhône et leur indique qu’elle ne serait pas hostile à l’idée de changer de région.
*Ses deux enfants sont dans le cirque, Luc est acrobate et Yann, directeur de cirque.
En rentrant à Limoges les deux hommes se sont dit qu’il serait intéressant de proposer à Annie FRATELLINI un site en Haute-Vienne, où elle pourrait planter un chapiteau et organiser ses stages dès 1987. Ils ont pensé à Nexon, la commune ayant acquis le château et son parc fin 1983.
Ils ont fait part de cette idée à René REBIERE alors maire de NEXON et Conseiller Général. Il saisit cette opportunité et la présente au Conseil municipal. Après plusieurs réunions au cours desquelles ont été abordés tous les problèmes posés : hébergement des stagiaires, des parents, vente des stages, subventions, partenariats, etc., le conseil municipal décida de s’engager dans l’aventure.
Annie Fratellini découvrit le site de Nexon en février 1987, sous une couche de neige d’environ dix centimètres. Le site lui plut et les négociations sont rapidement engagées. Deux stages sont prévus pour l’été 1987 mais il y a eu tout juste assez de candidats pour un seul stage. René REBIERE souhaitait alors rompre le contrat qui liait la commune avec Annie FRATELLINI mais finalement un arrangement est trouvé et les stages continuèrent l’année suivante.
L’aventure continue, le succès est grandissant, nous y consacreront un chapitre plus tard.
Pendant 10 années Annie FRATELLINI vient à Nexon. Dans un entretien avec Carlos PAREDES publié dans le Magazine INFO du 15 juin 1997 elle parle de sa venue à Nexon du 15 Juillet au 22 août et annonce qu’elle présentera un nouveau spectacle musical qu’elle a travaillé avec l’ensemble de percussions de l’orchestre symphonique régional du Limousin…
1992
1994
Annie FRATELLINI avec René REBIERE (1992) et Daniel FAUCHER, Pierre ETAIX, Patrick VOISIN, Marc DELHIAT, et René REBIERE (1994)
Mais elle n’aura pas le temps de réaliser son projet, Annie FRATELLINI décède le 30 juin 1997. Les nexonnais sont tristes et pour lui rendre hommage, le conseil municipal présidé par Madame Liliane JAMIN décide de donner son nom à la place du marché qui accueillait autrefois les cirques de passage à Nexon.
Au revoir…
III- La place du marché devient la Place Annie FRATELLINI.
La cérémonie a lieu le 9 août 1997, dans l’après-midi, en présence de Valérie FRATELLINI, sa fille.
Liliane JAMIN, qui a succédé à René REBIERE à la tête de la commune, entourée de Valérie, de rené REBIERE, vice président du du Conseil général, des organisateurs du festival, Guiloui KARL et Marc DELHIAT donne les raisons de cette manifestation et le choix de cette place. Une foule nombreuse était présente pour rendre hommage à celle qui a permis à Nexon d’être reconnue dans le monde du cirque, des loisirs et du tourisme.
Centre France Dimanche 10 août 1997Le Populaire lundi 11 août 1997Le Populaire 11 août 1997l’Echo 11 août 1997
Membres : Pierre PENOT, Jean LECOURNET, André DUMONT, Fernand QUANTIN, René LOUIT, Jean CROUZILLAC, Pierre PRADEAU, Edmond MAZABRAUD, Bernard LASPERAS.
Le conseil municipal a acquis un premier matériel, 6 tambours et 10 clairons à la maison Lagueny à Limoges pour la somme de 1235 F. 65.
La première sortie a lieu pour la cérémonie du 11 novembre 1963 à Nexon. La clique exécute les sonneries réglementaires.
Le maire L.J. Pradeau, le conseil municipal et les drapeaux le 11 novembre 1963
Monsieur Cadin, et les jeunes musiciennes et musiciens de la Clique.
Le public parmi lequel je reconnais ma petite sœur et mon grand père.
Le 16 février 1964 la Clique se produit pour la première fois hors de Nexon. Elle participe au défilé carnavalesque de la ville de Limoges. M. le Maire de Limoges exprime aux dirigeants ses félicitations et fait parvenir un chèque de 250 francs.
La 3ème sortie a lieu le 30 mars 1964, lundi de Pâques, à l’occasion du Comice. La clique donne une aubade Place de la République et place de l’Eglise.
4ème sortie le 19 avril, pour la frairie du quartier de Chamborêt à Aixe sur Vienne.
Arrivée devant la gare
A la fin de l’année l’effectif est de 30 exécutants. Certains vont partir pour effectuer leur service militaire. Le bureau lance un appel aux plus de 20 ans
Sorties en 1964 : carnaval de Limoges, Fête d’Aixe sur Vienne, Comice agricole de Nexon, aux fêtes de Ladignac le Long, du 8 mai à Nexon, de la saint Jean, de Janailhac, de saint Hilaire les places, de la Plaine, de la gare de Nexon, du 14 juillet, de la nocturne de saint Hilaire, de Nexon en mai et en septembre, de saint Maurice les brousses, la Meyze, au bal des célibataires, au 11 novembre et au tournoi de Nexon.
La société possède le matériel suivant : 11 tambours, 5 cors, 15 clairons et 1 grosse caisse. Elle a également 40 calots, 40 paires d’épaulettes et 50 lyres en métal.
L’effectif est composé de 12 tambours, 16 clairons, 6 cors, 2 grosses caisses et 2 cymbales soit 38 exécutants. S’y ajoutent 5 élèves apprentis clairons et 2 apprentis tambours.
La société a encaissé 2 820, 31 francs de recette et a dépensé 2 218,30 francs réalisant un excédent de 602,01 francs.
Assemblée générale du 14 mai 1965
Le conseil d’administration est ainsi composé :
Président : René REBIERE, Maire
Vice-Président : Mme Alice VIGNERON
Secrétaire : René PENAUD
Secrétaire adjoint : André CANARD
Trésorier : Claude LAGNEAU
Membre de droit : MM. Robespierre CADIN et Fernand QUANTIN
Membres: Maurice LAGNEAU, Pierre PENOT, Jean LECOURNET, André DUMONT, Pierre PRADEAU, Henri VIGNERON, Henri PRADEAU, René LASPERAS, Mme Marthe LONGEQUEUE, Louis DELIAT.
La clique a participé au Festival de Musique Populaire de Bellac le 30 mai. Sa prestation lui a valu d’être retenue pour participer au Festival International de musique à Uzerche le 11 juillet 1965.
Lors du CA du 27 octobre 1965 il est décidé d’acheter des trompettes.
Lundi de Pâques 1966 sortie touristique pour l’ensemble des membres à Rocamadour, Padirac, Collonges la Rouge.
Lors de l’AG du 14 avril 1969 on constate que l’effectif est inférieur à 20. Il est décidé de ne pas effectuer de sorties à l’extérieur.