Né à Nexon il y a plus de 60 ans et bien que n’y résidant plus, mais n’ayant pas quitté le Limousin, je me sens toujours Nexonnais. Ma mère qui a aujourd’hui plus de 90 ans est née dans une commune proche de Nexon. Elle est venue y habiter avec ses parents en 1928. Elle fait partie des plus anciens habitants de la commune, elle est une mémoire vivante. Elle m’a transmis le goût de l’histoire. Collectionneur de cartes postales et de documents anciens je lui montre tout ce que je découvre sur Nexon. Elle m’explique qui tenait tel ou tel commerce, comment se déroulait la vie quand elle était jeune…
J’aime beaucoup cette phrase d’Amadou Hampaté Bâ, un sage africain : « Un vieillard qui meurt c’est une bibliothèque qui brûle ». C’est pour éviter cela que je souhaite mettre à la disposition de tous le résultat de mes recherches et que je crée ce site.
Bravo pour une telle initiative. Notre façon de vivre aujourd’hui nous amène à sous-estimer ce lien avec le passé . Nos aînés qui ont mieux su que nous faire ce lien entre générations ont été plus forts dans les épreuves de la vie .Cette mémoire est à faire fructifier, pour nos enfant, pour nos petits enfants, qui risquent se trouver déstabilisés par le manque de racines…
Bonjour,
C’est tout à fait par hasard que je suis tombée sur votre site récent et parce que je recherche régulièrement des éléments sur l’histoire de Nexon afin d’échanger avec ma famille. Votre site magnifique est venu compléter et combler tout naturellement les informations déjà en ma possession. Un sacré travail à respecter et un très bel ouvrage à consommer et à partager sans modération pour devenir ou rester amoureux de cette belle petite ville !! bonne continuation.
Bonjour, je recherche des informations et plus particulièrement des photos ou illustrations de la cheminée Frugier qui devait être une ancienne tuilerie ou briqueterie. On voyait écrit en gros le nom Frugier depuis la route allant à Ladignac. Merci.
Bonjour, tout ce que je peux vous apporter comme précision, on l’appelait communément la tuilerie de bosrichard, en fait c’était une briqueterie, mon père y a travaillé dans sa jeunesse, la terre glaise était récupérée au lieu-dit « Les Blas » et était acheminée sur des petits rails par des wagonnets que l’on peut peut-être voir encore si la végétation n’a pas prie le dessus.
Cette tuilerie faisait partie des propriétés du Docteur Frugier,qui habitait à Nexon,rue du Nord (actuellement rue Gambetta. Au décès du Docteur Frugier,c’est sa fille Madame Denis,qui l’a héritée . Après,elle n’a plus été exploitée et la grande cheminée menaçant de s’écrouler,elle a été démolie.
Bonjour; petit rectificatif au sujet de la tuilerie de « Bostrichard » et non « Bosrichard » qui effectivement fabriquée bien des tuiles et des briques, la glaise était bien acheminée par des wagonnets ainsi qu’à l’aide d’un camion GMC dont la robustesse et la solidité ne sont plus un secret, la glaise était récupérée au lieu-dit « Les Blads » et non « Les blas » commune de Meilhac.
Je tiens à préciser qu’il n’y a aucun lien de parenté entre ma famille et le nom de Frugier inscrit sur la cheminée.
Bonjour je remercie les 2 intervenants pour leurs réponses. C’est très intéressant. Je suis allé voir sur le lieu de la tuilerie à Bostrichard. Il n’y a plus rien de clairement visible. Juste des granges et quelques habitations. Ne voyant personne nous n’avons pas insisté à pied.
Le Dr Frugier serait il donc le fils de René Frugier?
Enfin, je suis à la recherche de briques et tuiles Frugier, en toute petite quantité, juste pour associer à ma collection d’Aluminite puisqu’il s’agissait du même propriétaire.
Je sais que le Docteur Henri Frugier était apparenté aux Frugier ,porcelainier . Monsieur René Frugier,ingénieur,a monté sa manufacture de porcelaine en 1896. (rachetée par Haviland en 1958). Il a été le créateur de l’aluminite, »la porcelaine allant au feu »,dixit la « réclame » de l’époque. Cette porcelaine,chère,avait connu un grand succès très mérité,car grande était la différence avec les casseroles en fer étamé et autres ustensiles de l’époque !
Bonjour, j’ai vu cette tuilerie de près sans connaître son histoire, j’avais 6-8 ans et passais quelques semaines de vacances chez mes grands-parents qui logeaient dans la maison juste à côté de ces ruines où l’on n’avait pas le droit d’aller, bien entendu. C’était fin 70.
La cheminée était encore là et nous avons pu voir derrière les quelques murs qui tenaient encore, avec mon frère, bravant l’interdit, des trous béants de plusieurs mètres, des briques partout, on ne savait pas ce que c’était mais c’était l’Aventure .
Mes grands-parents ont emménagé à Nexon, les propriétaires de la maison voulant reprendre leur bien.
Je n’ai plus entendu parler de cet endroit.
Tout récemment, un de mes cousins qui habite aussi à Bostrichard, a acquis le terrain de l’usine et m’a montré ce qu’il en restait, plus grand chose en fait, il avait commencé à combler et aplanir tout cet espace. Maintenant il ne doit plus rester grand chose de la tuilerie.
J’ai la moitié d’une brique:
TUILERIE
RÉNÉ
NEXON
Pouvez vous m’envoyer une photo, je la publierai. Mon adresse mail : Jean-francois.nys@orange.fr
Cordialement.
JF Nys
J’ai oublié de préciser que Jeanne Frugier-Denis était la fille du Docteur Henri Frugier. Elle eut aussi un frère mort à la guerre en 1918.
J’ai vu à Meteo à la Carte hier, à Puycheny (tuilerie musée) cette brique:
FRUGIER
À LA GOURGÈRE
PAR NEXON (???)
J’aimerais bien savoir ce qui est dans les guillemets!
Il y avait une tuilerie-briquetterie à La Gorgère, village de la commune de Saint-Hilaire les Places contigue à Puycheny. Je ne pense pas qu’il y ai eu des briques fabriquées par M. Frugier.
Bonjour, Merci pour ce site et ces partages.
Je suis une petite fille descendante des Frugier et Bonnafy. Oui mon arrière grand oncle René Frugier avait inventé l’aluminite effectivement et plusieurs fois fait sauter le joli kiosque dans le parc de la maison familial de Nexon. Ce fut effectivement racheté par Haviland.
C’est aussi un des frères Frugier de ma famille, qui avait autrefois cette tuilerie dont vous parlez. Effectivement ma grand-cousine Jeanne Frugier-Denis (1884-1980) en avait hérité.
Quand à la Gendarmerie elle était à mon arrière-arrière-grand mère Anne Lescure- Frugier (1833-1908), avant qu’elle ne soit louée par son mari à la Mairie. Elle y avait construit un grand relais de postes avec de grandes écuries, elle embaucha du personnel pour la cuisine, le restaurant, les écuries etc… mais lorsqu’elle connaissait les personnes venant s’y restaurer, elle ne les faisait pas payer. Son mari Jean Frugier (1825-1894), plusieurs mois plus tard, en se penchant sur les comptes, voyant le déficit, fût pris de colère et c’est ainsi que cela devint la gendarmerie que ma grand-mère Jeanne Bonnafy (1890-1988) a eu à gérer ainsi que ma mère avant que la Gendarmerie ne change de lieu.
Quand à ce bon docteur Henri Frugier (1854-1940) qui soigna la famille Frugier-Bonnafy et fût aimé de tous, était le frère aîné de René Frugier (né en 1858).
Mon arrière-arrière-grand-père Jean Frugier était grand cousin du Docteur et de René. Ainsi que de Jeanne Frugier-Denis. Ils étaient tous proches et se voyaient beaucoup.
Merci pour toutes ces précisions que peux de nexonnais connaissent.
Cordialement
Jean François NYS
Je viens de découvrir votre site « et si NEXON m’était conté ». Je suis né à NEXON le 23 Avril 1939. S l’ensemble du site m’a rappelé nombres de souvenirs par ses détails et sa justesse, c’est ceux de l’ASN foot qui reste le plus vivace.
Pour la célébration du cinquantenaire, auquel j’ai participé, Jeannot ADAM un ami proche, m’avait demandé si j’avais des photos de notre époque de joueur (pour ma part de 53 à 62).Je lui ai fourni les 4 premières que vous avez sur votre site et sur lesquelles je figure. Ce jour là, quelques 37 ans après, j’ai eu le plaisir de croiser » les copains de jeunesse » si les silhouettes ont changé l’esprit est resté … Je viens d’écrire un livre, un gros tiers porte sur mes vingt premières années de ma vie à NEXON alors que je vais fêter mes 77 ans. J’ai visionné l’ensemble du site, merci pour ces années bonheur même si elles ont été entachées parfois de tragédies ….
Poussé sans doute par un brin de nostalgie, je suis tombé par hasard sur votre site “Si Nexon m’était conté”. J’ai été tout de suite passionné par sa lecture qui m’a replongé dans les années de mon enfance et de mes vacances d’été nexonnaises.
Je suis né en 1942, et suis donc votre aîné de quelques années.
D’entrée de jeu, je vous dirai d’abord que le meilleur pain que j’ai mangé de ma vie, c’est le vôtre, celui du boulanger Nys du Courdein. Ah cette mêlée, agrémentée pour le “4 heures” de la crème de lait de la vache de la maison, un régal.
2 boulangers passaient chez ma grand’mère: Liénard et Nys…et “il n’y avait pas photo” aurait-elle sans doute dit si elle était encore de ce monde. Mais ce qui épatait le citadin que j’étais, c’était le mode de paiement utilisé non par ma grand’mère, mais par son propriétaire qui avait des métayers, réglait le boulanger en sacs de blé en échange desquels il obtenait des tickets de différentes couleurs selon que l’on souhaitait un “petit pain” ou une “mêlée” (ouna melade en patois).
Autre souvenir, sportif celui-là. Dans la grande banlieue où je demeurais avec mes parents et mon frère, nous pratiquions le football dans un petit club (dit”de patro”), et j’ai pris l’initiative d’inscrire l’équipe (junior) au tournoi à onze de Pâques organisé par l’ASN. Il se trouve que nous avons gagné le tournoi, non sans mal, car le pied gauche de Magnaud (évoqué dans votre travail), était en effet redoutable.
A moins que celà ait échappé à ma vigilance de lecteur, il ne m’a pas semblé voir dans la rubrique histoire de votre récit, la bien triste histoire du camp de Nexon. Le passionné d’histoire de la déportation que je suis, aimerait avoir de votre part quelques précisions à ce propos, ceci en tout respect tout honneur bien entendu.
Enfants, mon frère et moi faisions tous nos déplacements en vélos, ceux-ci étant acheminés par train, puis de la gare à notre demeure par René Laspougeas et sa charrette à cheval.
J’espère ne pas vous avoir ennuyé avec ce courriel et vous prie d’agréer, Monsieur Nys, l’expression de mes cordiales salutations.
vous trouverez tous les renseignements au sujet du camp de Nexon, dont l’histoire est suivie de bout en bout, de même que celles des camps de St Paul d’Eyjeaux et de St Germain les Belles dans l’excellent ouvrage « Les camps du bocage » de Guy PERLIER (éditions les Monédières) . Guy Perlier, retraité professeur d’Histoire, est docteur en Histoire contemporaine.
L’ouvrage comporte: photos , plans, et quantité de documents à l’appui.
Je m’appelle Marie Thérèse Mayne Champeaud, nexonnaise de mère, mes grands parents, Martial et Marie Thomas ont travaillé au château de La Garde (palefrenier et femme de chambre. Ont acheté ensuite, place du Marché, la maison n°6, bâtie début 20eme siècle par le Dr Thomas( sans parenté). Du fait de la guerre, nous n’avons que peu, ma sœur et moi, connu Nexon. Le merveilleux jardin s’étendait le long de la » rue des écoles », ma mère et ma tante ont vendu la maison il y a longtemps, il n’y a plus de jardin….fassent les dieux que je n’y voie pas de H.L.m !!
J’y vais plusieurs fois par an et y ai encore des cousins. Je n’ai pas oublié les voisins: l’hôtel Massy, qui touchait la maison, la famille Pradeau, Mme Noaillas (orth?), les familles Fouillaud, Charreix, Les coiffeurs Mr et Mme Debord, comment oublier René Laspougeas , sa jument et la charrette (la gare était bien loin pour nos petites jambes des 56 et 3 ans !! . Mes condisciples au lycée: où sont-elles maintenant ?: Jacqueline André dont le père était coiffeur,place de l’église, Christiane Bourdeix, logeant chez ses grands parents pâtissiers, Marie-Jo Conort, fille du vétérinaire , Michel Grammagnat(son père et ma mère étaient du même âge)…
Je rencontrai Mr Longequeue aux repas des anciens élèves de Gay-Lussac, dont je fais partie( H.K 1954-1955), Michel Grammagnat avait épousé une de ses filles)…….
Je vous remercie de m’avoir suivie jusqu’ici, mth Mayne Champeaud (9, Parsac 87130 Neuvic-Entier.)
Merci pour votre commentaire.
je connais les ouvrages de Guy Perlier, je pense avoir dans ma bibliothèque tous les livres écrits sur le camp de Nexon et j’ai des centaines de documents photocopiés aux archives. Je cherche ce qui n’est ni dans les bibliothèques, ni aux archives mais dans les tiroirs des familles ou dans la mémoire de ceux qui sont encore de ce monde. J’en ai déjà obtenus mais il y en reste à découvrir. C’est parfois ce qu’on appelle la petite histoire, à elle seule la mémoire et les documents personnels ne suffisent pas pour écrire l’Histoire avec un H majuscule si tant est qu’on puisse l’écrire un jour. Chacun écrit avec sa vision du monde, sa sensibilité … ce qui est écrit sur Nexon n’échappe pas à cela.
N’hésitez pas à écrire un commentaire sur ce que j’ai déjà écrit sur la place du marché aujourd’hui place Fratellini, sur la maison de vos grands parents qui était en vente lorsque j’ai écrit et qui doit être vendue… Je suis en train d’écrire sur la rue saint Ferréol.
Cordialement.
J’adhère à la chasse aux souvenirs dans les tiroirs des mémoires et des bureaux !! Mais il y a des tiroirs à double fond !! Autrement dit: des secrets de famille dont je suppose que les jeunes générations les ignorent, sinon quelle duplicité serait la leur !
Exemple à Eymoutiers: toute ma génération le sait (née en 1935, ne suis-je pas votre doyenne à tous ceux dont je lis les réflexions ?) et les faits sont rapportés par les témoins et les historiens.
2017: infos nationales: » le pape vient de nommer un nouvel évêque aux armées, Mgr. de Romanet de Beaune » (famille attestée à Eymoutiers depuis le 12e-13e siècle, terres et châteaux)
Apparaît Mgr de Romanet de Beaune qui nous assure de son dévouement, nous apprend que sa famille a toujours servi la France, » mon grand-oncle » dit-il, est » mort pour la France » en 1944. »
Son arrière grand-père ( j’espère ne pas faire erreur dans les générations !) a été un officier valeureux en 14-18).
Le grand-oncle,qui laissait entendre, mezzo voce, appartenir à l’A.S, après avoir accepté l’installation d’un groupe de maquisards (20 hommes), dans un souterrain du château, d’où ils ont migré dans une grange: trop d’ insalubrité, les a dénoncés.
Au matin du 5 février 1944 :
200 SS encerclent: 20 maquisards !!
Maquisards: 3 morts affreusement torturés avant d’être achevés, des blessés emportés à dos d’homme à travers les topinambours et les bois, soignés par 2 médecins d’Eymoutiers (au péril de leur vie).
La fermière: 59 ans, déportée: Buchenwald, Ravensbrück, marche de la mort, Bergen -Belsen où elle est morte. Son fils est revenu de Mathausen très diminué.
Mr. de R., arrêté, est, étonnamment, revenu indemne, dans son château , au bout de quelques semaines.
22Juillet 44, la bataille du Mont Gargan fait rage, Mr. de R part à Limoges en voiture: ne revient pas…Arrêté par des maquisards à un carrefour, il prouve son appartenance à l’A.S , mais un maquisard ouvre la malle: tracts allemands à l’intention de la population d’Eymoutiers et…laissez-passer signé…du général Ottenbächer…Comparution devant un tribunal militaire, condamnation, exécution.
1949: la famille demande et obtient l’inscription « mort pour la France »
Rappelez-vous la Fontaine: « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendrons blanc où noir »..
J’ose croire que les petits-neveux (l’un occupe un poste très en vue, l’un est évêque ..) ne connaissent pas cette face noire, bien cachée, au fin fond des tiroirs….
La dénonciation porte la signature du factotum de Mr.de R: condamné aux travaux forcés : 10 ans et à 10 ans d’interdiction de séjour, il a dit regretter d’avoir suivi ,es directives de Mr.de R. ce qui confirme le double jeu …
Vous posez la question des secrets de famille. Si quelqu’un découvre la vérité, au fond d’un tiroir par exemple, doit-il garder le secret ou dire la vérité. C’est un vieux sujet de philosophie que de savoir si toute vérité est bonne à dire.
Socrate quand on voulait lui dire quelque chose posait 3 questions:
1- Es-tu absolument sûr que ce que tu vas me dire est la vérité ? »
2- Est-ce que ce que tu vas me dire est quelque chose de bon ? »
3- Est-ce que ce que tu vas me dire peut m’être utile ?
Si la réponse est non a toutes ces questions Socrate ne voulais rien savoir.
mais en même temps toute personne qui tend vers la sagesse veut connaitre la vérité. Pour certains auteurs la marche vers la Sagesse c’est la quête de vérité ce qui passe par par le questionnement permanent, par le Pourquoi ?
A chacun de faire selon sa morale.
Excusez-moi d’avoir omis d’indiquer, parmi les écrits concernant le camp de Nexon, l’ouvrage : »Les miradors de Vichy » d’Arlette Alexis Monet, Les Éditions de Paris.
Avec mes sentiments les meilleurs M.Th Mayne
Je vous ai envoyé un photo de ma brique via facebook/messenger car votre courriel ne marche pas. Voici un lien pour une facture de La Tuilerie Mécanique du Limousin À Bostrichard près Nexon fondé 1854, daté 1925, marqué « René Frugier, Ingénieur des Arts & Manufacture » et Bureaux et Dépot à Limoges: 17 Rue du Chinchavaud.
Une facture de 1957 n’a pas le nom Frugier.
https://www.delcampe.net/en_GB/collectables/invoices-commercial-documents/france/old-professions/87-bostrichard-nexon-limoges-rare-facture-rene-frugier-tuilerie-mecanique-du-limousin-tuiles-1925-761068022.html
Excusez moi d’avoir omis de vous indiquer, parmi les publications concernant le camp de Nexon, l’ouvrage de Laurette Alexis-Monet: « Les miradors de Vichy ». (Éditions de Paris)
L’auteur était déléguée par la CIMADE (organisation protestante d’aide aux personnes déplacées), a œuvré à Gurs, Récébédou, etc….
Probablement en avez-vous connaissance, mais au cas où vous ne le connaîtriez pas…
Avec mes sentiments les meilleurs. M.T.M.
Vous me l’aviez déjà indiqué et comme universitaire travaillant sur l’histoire de nexon j’ai dans ma bibliothèque a peu près tout ce qui a été écrit sur Nexon, y compris le livre de Laurette Alexis-Monet sur lequel je signalerai un certain nombre d’erreurs.
Avec mes meilleurs sentiments. JFN
C’est avec plaisir que je rectifierai (en ajoutant, peu élégamment , des post-it entre les pages) les erreurs contenues dans l’ouvrage de Laurette Alexis-Monet, si vous voulez bien me les communiquer. Je vous en remercie.
Je m’apprête à honorer, seule, le 6 avril, la mémoire des gens raflés en 1944, à Eymoutiers, déportés à Auschwitz et soit gazés à l’arrivée (une petite condisciple et sa mère entre autres) soit morts de misère. Trois sont revenus. Les hommages officiels sont rendus le jour dédié à la déportation, fin Avril. Les enfants ayant échappé à la rafle sont maintenant, comme moi, des vieillards, et ne peuvent plus se déplacer, ou sont eux-mêmes décédés. Je ne peux oublier cette tragédie.
Ci-joint 2 photos (si j’arrive à les joindre):
-la Boule de Neige vers 1952.C’est la maison de mes vacances chez ma grand’mère Bouby. Route de St Priest-Ligoure.Elle a été entièrement « relookée »!!!
-mon grand-père Bouby mort pour la France le 13 avril 1915. Sur la photo il est au 107ème RI. Ce régiment a été fondu avec le 106ème et c’est comme soldat au 106ème qu’il est mort à Dieue-sur-Meuse des suites de ses blessures. Ses 2 enfants, dont ma mère, avaient alors 3 ans et demi pour mon oncle, 3 mois pour ma mère.
Comme mon ancien collègue du service des Monuments historiques, je n’ai qu’un mot : BRAVO.
Je me permets de vous solliciter au sujet des cartes postales représentant des soldats américains en 1918 : vous appartiennent-elles ? Dans le cadre de ma profession (archiviste) je suis à la recherche de photographies ou cartes postales représentant les troupes américaines en Haute-Vienne pour une future exposition
Vous remerciant par avance de votre réponse
Recevez mes meilleures salutations
Et pour une vue d’ensemble du phénomêne ostensionnaire qui me parait intéressante.https://fr.wikipedia.org/wiki/Ostensions_limousines
Je voudrais vous dire toute mon admiration, pour votre investissement dans ce formidable travail que vous avez effectué, ainsi que pour la qualité et la clarté de cette œuvre que je parcours avec le plus grand intérêt.
« Le passé ne meurt jamais complètement pour l’homme. L’homme peut bien l’oublier, mais il le garde toujours en lui. » (Fustel de Coulanges.)
Merci Gérard pour ton beau commentaire.
Bonjour,
juste pour vous dire qu’en lisant un article
http://etsinexonmetaitconte.fr/?s=clermonteil&op.x=0&op.y=0 sur les morts pour la France à Nexon, je vous confirme que le nom Clermouteil est mal orthographié et qu’il s’agit bien de Clermonteil Léonard. Il a dû être ajouté après car il n’a pas été tué au champs de bataille mais a succombé à une péritonite alors qu’il été 2Cl du 43 régiment d’artillerie.
Bonne journée
Bravo pour ce site remarquable qui offre aux nexonnais leur histoire avec beaucoup d’authenticité et de sensibilité. Ce travail, agrémenté de nombreuses illustrations est digne d’un véritable historien. Connaissant l’auteur, je sais sa réelle passion pour l’histoire, la recherche, les vieux documents et surtout pour Nexon.
Un bien beau travail mon très cher Jean-François. Je recommanderai la visite de ton blog et je t’adresse mes plus chaleureuses félicitations. Je pense, comme toi, que l’Histoire éclaire l’avenir. Je crois également que toutes nos histoires sont importantes dans la construction collective de la mémoire. Je partage enfin ton opinion à propos des belles paroles de ce sage africain.
Je ne suis pas de Nexon, mais « des ponts » – en tout cas ma famille paternelle, donc limougeaud. Mais je suis du Limousin. Et je connais bien Nexon…
Aussi ce blog m’apparaît-il captivant, nécessaire, particulièrement bien fait. Historien, je suis sensible aussi à l’hommage rendu à la mémoire vivante qu’est la mère de l’auteur.
Nul doute que dans les prochaines heures, je vais encore plus me promener à travers ces lignes, ces pages, et (re)découvrir Nexon avec un oeil neuf. La première conséquence de cette lecture est d’ailleurs qu’elle me donne l’envie d’y refaire un tour.
Merci et bravo.
Merci pour ce commentaire élogieux qui m’encourage à continuer dans la voie que j’ai choisie , des articles longs plutot que des brèves.
Je vous félicité pour ce site extrêmement riche et instructif. Je me suis lancé dans un peu de généalogie sur ma famille est une branche de celle ci semble avoir vécu dans les années 1800/1930 à Nexon, c’est un grand plaisir de pouvoir découvrir des vues de l’époque de ce village avec vos commentaires. Je vous souhaite une bonne continuation et merci beaucoup pour la diffusion de ces morceaux d’histoire!
Bonsoir ce fut une grande joie touchante, pour ma mère et moi d avoir pu retrouver sur ce site le nom de mon papa qui anima beaucoup de bal dans la région dont nexon et pour moi qui fut le batteur de roland dubreuil que de bon souvenir de
La Grande salle un grand merci
Villoutreix Jean qui figure sur le monument aux morts est dcd à Nexon d’une maladie agravée par son passage dans l’armée Il a été déclaré mort pour la France Il avait 2 fils Jacques et André
Son décés s’est produit le 05.04.1917 à Nexon Son épouse était Bosson Claire Lucie
Registre Matricule 1194
Je viens de découvrir le site et je retrouve mon arrière grand père cité Henri CHARREIX, beaucoup d’émotions.
Etant à mon tour grand père j’ai envoyé le lien à mon fils ..
Continuez,
Cordialement.
Bonjour, le berceau de ma ma famille est plutôt aux Cars mais c’est proche de Nexon ; j’ai retrouvé une carte postale que mon arrière grand-mère (1851-1937) a envoyé à son fils. Le recto représente le château de la Garde et je souhaiterai connaître approximativement sa plage d’édition. Je ne l’ai pas retrouvé dans mes recherches sur internet. Puis-je vous la transmettre ?
Meilleures et cordiales salutations,
Georges Dauriat
J’ignorais l’existence de ce site que j’ai découvert grâce à son créateur. Je l’ai trouvé tout à fait intéressant et bien renseigné.Le lot de cartes postales est bien fourni et jusqu’à des temps reculés ,mais il en existe beaucoup de belles et plus récentes que j’ai eu l’occasion de visualiser .Je dois en avoir quelques unes ,mais où ,c’est là le problème . Pour ma part j’ai été un peu un habitant de passage à Nexon .En effet j’ai quitté Nexon à l’age de 7 ans pour Versailles récupéré par ma Grand-Mère qui trouvait que je parlais bien le patois mais pas assez bien le Français et ainsi j’ai attéri chez les Frères des écoles chrétiennes.Je venais à Nexon pour toutes les vacances scolaires .J’y suis revenu pendant les quatre années de guerre et suis ensuite retourné à Versailles en 1945 .Aprés avoir hérité le Château et le domaine attenant je venais à Nexon tous les week-end et toutes les vacances . Je connais Nexon comme ma poche et beaucoup des environs y ayant pérégriné à cheval en bicyclette et même en voiture (quand même). Pour les habitants de Nexon que j’ai connus je n’ai que de bons souvenirs et de trés amicales relations. Hélas beaucoup sont maintenant décédés et je ne devrais moi-même pas tarder à les rejoindre . Il en est ainsi ! Amical souvenir à tous ceux qui se sont manifestés sur ce site.
.
Bonjour !
Je viens de prendre connaissance de votre commentaire et suis moi-même sur les traces de mon grand-père parti à la guerre en 1916 et alors âgé de 19 ans Nicolas RUTARD qui a vécu au Château avec ses parents : cuisinier et domestique d’origine anglaise, tout deux venant de Saché en Indre et Loire.
Est-ce que ces informations vous rappelle quelque souvenir même lointain ?
Ses descendants sont à la recherche de leur histoire et j’en suis là : Nexon où j’envisage de me rendre.
N’hésiter pas à me contacter si mes propos font quelque échos à vos souvenirs ! Sylvie à Toulouse.
Bonjour Monsieur,
Je suis une petite « auteure » et je viens de trouver sur votre site une carte des chemins de fer français datant de 1860.
Je viens vous demander la permission de pouvoir inclure cette carte dans une histoire pour enfants. C’est juste pour leur permettre de situer les évènements.
Si cela posait un quelconque problème, naturellement je ne la mettrai pas. C’était un petit plus…
J’attends votre réponse avant de conclure mon livre.
Avec mes remerciements,
Veuillez agréer, Monsieur, mes sincères salutation
Jeanny
Bonjour,
Avant le 24-07-1940, ma marraine Clarisse LUSIAUX, accompagnée de son frère René, Denise PIRAUX, Joseph et Marie-Louise ELIS sont partis en exode de Joncret (Gerpinnes-Joncret) pour résider dans une ferme de Nexon.
Nous venons de passer quelques jours en votre commune afin de retrouver le lieu de résidence, sans résultat.
La mairie nous a orienté vers votre site pour nous aider à retrouvé cette ferme.
Une photo d’époque peut vous être envoyée avec les propriétaires et mes parents.
Merci d’avance
Bonjour – Je suis à la recherche de toute information / tout document sur mes arrières-grands-parents, Louis et Angèle Baronet, instituteurs à Nexon au début des années 1900. Serait-il possible d’entrer en contact?
Je viens de découvrir avec gourmandise ce site remarquable.
La famille de mon père est originaire de Nexon, en face de l’église la maison avec deux escaliers extérieurs et au Courdein.
Mon arrière grand-père , Raymond Limousin, y était négociant autour des années 1900.
Par ailleurs la famille Limousin a au cimetière plusieurs caveaux que je compte rénover prochainement.
Merci pour votre remarquable initiative.
Bonjour je découvre ce site, La mère de de Raymond limousin était elle née Reydi ?
Bien cordialement.
Bonjour,
Non, il s’agissait de Françoise DEMARQUE 1814-1898
Ci= dessous sa fiche Geneanet
Votre dévoué et …tardif,
Jean-Pierre Limousin.
F Françoise Demarque
Sosa : 45
(Félicie Demarque)
Née le 16 avril 1814 – Sarrazac, 24
Décédée le 10 mars 1898 – Les Places, Saint-Hilaire-les-Places, 87, à l’âge de 83 ans
Parents
sosa Denis Demarque du Claud 1790-1839
sosa Marguerite Cipierre 1791-1861
Union(s) et enfant(s)
Mariée le 18 mai 1840, Sarrazac, 24, avec sosa Léonard Tyrse Limousin 1814-1890 (témoins : H Jean Baptiste Marie Limousin 1811-1859, H Jean-Baptiste « Paulin » Limousin 1806-1881, H Raymond Demarque 1815-1871, H Geoffroy Laville, Officier de l’Instruction publique 1815-1904) dont
H Jean Baptiste Marie « Frank » Limousin 1841-1928
H sosa Raymond Limousin 1842-1922
H Jean-Baptiste Paulin Limousin 1844-1845
F Françoise Zélia « Hélène » Limousin 1846-1924
F Françoise Léonie Limousin 1848-1850
F Marguerite Marie Eva Limousin 1850-1918
F Marie Françoise Euphrosine Limousin 1852-1864
Tres beau blog mon oncle 🙂
Je découvre avec plaisir l’histoire de ce village, qui fut aussi les racines de la famille.
Bonjour,
Journaliste à France 3, je cherche à vous contacter.
Pourriez-vous m’appeler, si vous avez connaissance de ce courriel aujourd’hui 23 décembre, au …
Merci à vous.
Joyeux Noël
Isabelle Rio
Bravo Jeff pour l’énergie que tu consacres à faire vivre ce site. Je ne peux qu’être admiratif devant une telle somme de recherches et de travail . Je suis régulièrement l’avancée de tes travaux , mais l’article récent sur le moulin et la boulangerie du Courdein , résonne en moi d’une tonalité particulière.
Je suis heureux de constater que depuis plus de 50 ans votre amitié à mon égard est demeurée intacte.
je n’ai rien oublié des temps heureux.
»Ce qui sauve , c’est de faire un pas . Encore un pas . C’est toujours le même pas que l’on recommence.
Antoine de Saint-Exupery
Félicitations Jean-François pour ton blog, celui-ci nous plonge dans la nostalgie d’un passé dans lequel tu fais revivre la mémoire d’une belle commune.
Bonne continuation dans l’histoire de Nexon.
Bonjour Jean-François,
superbe travail de mémoire et de recherche ! Je me demande seulement comment tu réussis à trouver le temps pour mener à bien toutes tes activité…
Je ne connais pas Nexon et ne connais personne dans cette « bourgade » ; par contre étant originaire d’Isle j’essaie de m’intéresser à son histoire par le biais de l’association « Isle autrefois ».
Continue ce bel exercice consistant à réunir et/ou répertorier images, anecdotes et autres histoires locales…
Bien amical souvenir
Gilles
Bonjour Gilles, je viens de me replonger dans ce superbe site et en lisant quelques commentaires, je suis tombé sur le tien, très surpris de voir que tu ne connais personne à Nexon! As-tu oublié que nous avons été collègue pendant quelques années et que j’habitais (et j’habite toujours) à NEXON ???
Allez, je ne t’en veux pas…
J’espère que tu vas bien?
Mes amitiés.
Patrice Valette.
Bonsoir,
Je découvre tout à fait par hasard votre site qui est remarquable en tous points. Formidable travail. Je tiens à vous féliciter.
C’est en faisant des recherches généalogiques sur ma famille mes « anciens » qui ont vécu à Janailhac à Paulhac et sur la commune de Nexon à La Jaye que j’ai découvert votre site.
Je cherche à savoir et comprendre comment mon grand-père né en 1892 dans le Cantal, incorporé au 24ème régiment des Dragons pendant la Grande Guerre 14/18 a pu rencontrer ma grand-mère née en 1900 à Janailhac et qui habitait en 14/18 à La Jaye sur la commune de Nexon.
Il lui avait promis de revenir la chercher !
Ils se sont ensuite revus (quand ?) et mariés à Nexon en 1920…. puis eurent mon père…
Y aurait-il un lien pour leur rencontre avec le haras de Nexon, une permission en Limousin pour le 24ème Dragons ?
Si quelqu’un a une petite idée, elle sera la bienvenue.
Merci encore pour votre travail documentaire extraordinaire.
Bravo pour cet important travail historique et toutes ces images.
Bonjour, je suis un peu tombée par hasard sur ce site
Mon père Jean-Claude CLERMONTEIL était de Nexon, ma grand-Mère Renée dit Nenette y a longtemps tenu l’épicerie dont je garde quelques souvenirs dans ma mémoire d’enfant
J’aurai aimé trouve des photos de la place à cette époque… mais j’ai appris que mon grand-père que je n’ai jamais connu était pompier volontaire 🙂
Un peu de nostalgie, le manque de ces gens, et les souvenirs qui s’effacent …
Je ne sais pas si vous avez connu ma grand-mère et mon père …
A bientôt peut être …
J’ai connu votre grand’mère « Nénette » et son épicerie primeurs. Elle était tout naturellement gentille,souriante,dévouée. Debout,chaque jour,à 5 heures du matin,elle allait aux Halles à Limoges pour chercher des bons légumes frais. La petite épicerie simple et tranquille,avec de bons produits. Ce qu’on aimerait retrouver maintenant et qui n’existe plus.
Jean-Claude était mon copain d’enfance nos mères étaient amis ayant quitté très jeune la commune j’étais Heureux de les retrouver à chaque vacances scolaires de grands souvenirs bonne santé et meilleurs souvenirs
j’ai moi aussi connu Nénette, où je servais presque tous les jours. elle
si vous voulez elle me disait que tous les matins, à 5 heures, elle montait chercher son fourgon vers le stade de nexon, où celui ci était à l’abri et elle partait aux halles de limoges pour ramener des légumes frais.
Ensuite, à la retraite, elle est allée habiter dans sa maison, qu’elle avait fait construire, rue louis jouvet.
Je me souviens d’elle, avec son aspect toujours gai.
Hélas, elle décédée et son fils s’est tuer, il y a quelques années, en voulant réparer un peu sa toiture.
Heureusement, elle n’a pas su.
Je pense encore à elle puisque nous discutions hier avec une amie de mon age.
Je fais la connaissance de votre site par mon cousin Pequeriau qui vous a lui même écrit . Sensibilisée par l histoire de Nexon car à la mort de ma mère j ai été recueille par mon oncle menuisier ébéniste qui exerçait au 7 rue Victor Hugo la partie que vous n évoquez pas vous arrêtant à ce que nous appelions les 4 routes . Mon oncle a eu l opportunité de faire une partie ( ou toutes ) les menuiseries de votre jolie maison du Courdein . Nous étions liés avec la famille Mallardeau puis Peyrichoux .je peux vous parler de cette partie de la rue V Hugo avec son truculent Dr Lacour qui haranguait ses patients dans la rue ainsi que sa bonne la brave Céline dévouée corps et âme à ce docteur compétent dans tous les bobos quotidiens .il y avait en plus de l atelier de mon oncle un café restaurant ( au 9 ) tenu par la famille Jourde bondé les jours de foire . En face de l atelier : une ferme ….les Rebeyrolle .les vaches partaient le matin pour le pre et rentraient le soir parsemant la rue ( non goudronnée ) de leurs bouses
Puis il y avait le maréchal ferrant MR Sanciaud et sa femme Sage femme
Vous évoquez le quartier de Cornedie où se trouvait un lavoir où les femmes l’avaient leur linge . J ai la nostalgie de ce quartier ( derrière chez nous ) car à l emplacement du lotissement actuel batifolaient les chevaux du Baron ainsi d ailleurs que sur la route qui mène à La Meyze où des arbres magnifiques bordaient la route abritant les chevaux sous leurs ombrages
Je vous remercie pour ce site magnifique qui me replonge dans mon enfance et ma jeunesse . Je serais ravie d étayer vos recherches
Avec toute ma sympathie
Bonjour,
J’ai trouve votre site tout a fait par hasard. Je suis le petit-fils d’Andre Longequeue. La vente de sa pharmacie a M et Mme Pouret en 1979 a été négociée par mon père, Claude Louis Draillard, époux de France Longequeue, 2eme fille d’Andre Longequeue.
Je vais chercher dans mes archives personnelles et vous enverrait les cliches de Nexon que je possède encore.
Merci et à bientôt.
bonsoir monsieur Draillard
je fais actuellement des recherches généalogiques et je m’interesse notamment à la lignée de mon mari.
nous sommes en effet à la recherche d’une Marthe Frida RICHERT qui sera une tante de mon mari; auriez vous un lien de parenté avec cette personne ?
je vous remercie
bien cordialement
sylvie saillard
Bonjour,
Frida Richert était ma grand mère. Elle est décédée en 2008 à l’âge de 92 ans.
Contactez moi à l’adresse e-mail ci dessous.
Bien à vous!
Bonsoir
Je vous recontacte au sujet de votre grand mère qui était la sœur de mon beau père Charles richert.
Comme vous me l aviez si gentiment proposé je suis toujours OK pour vous rencontrer avec mon mari a l’occasion d’un de vos passages à Paris .
N’hésitez surtout pas ..
Au plaisir
Sylvie saillard
Ce site est remarquablement documenté, avec un souci du détail tout à fait étonnant. Une foule de renseignements introuvables, qui fournit aux curieux une mine d’informations importantes ou anecdotiques; bref il y en a pour tous les goûts. Remarquable travail.
Merci Jean pour ce commentaire particulièrement élogieux
Continue, mon frère , à laisser sur le site les nombreuses informations que tu as collectées sur Nexon . Ce partage laisse la trace, pour ceux qui ont connu , pour leurs enfants , pour les curieux .Cette Mémoire est importante .
Persévère !
Bises de la 5ème de la fratrie .
Anne Marie
Bonjour,
Pour « inventaire » d’une sépulture familiale dans le cimetière de Nexon, la Mairie ne disposant d’un registre des inhumations qu’à partir de 1986,
Je suis à la recherche de toutes informations ( presse locale de l’époque ?) pouvant me confirmer que mon aïeule LEONARD MARIE, veuve BALAIZE YRIEIX, décédée à Nexon le 20 janvier 1941, a bien été inhumée dans le caveau familial au côté de son mari Balaize Yrieix, agent voyer, décédé et inhumé à Nexon en 1908. Leur fille, ma grand-tante, Balaize Louise ayant épousé, en 1921, M. Lelong Francois, maire de Nexon, décédé en 1925
Et, bien sûr, je suis « preneur » de toutes informations concernant mon aïeul Balaize Yrieix, n’ayant (à 85 ans !) plus aucun ascendant pouvant m’aider dans cette quête familiale à transmettre à ma propre descendance.
Par avance, un grand merci
M. Balaize Claude
Quel bonheur d’avoir pu recevoir de M. Jean-François Nys une aussi immédiate réponse à ma demande et une aussi généreuse promesse d’aide à ma quête familiale.
Te voilà donc maintenant « Homme heureux, barque naviguant sous un vent favorable » me dit la Sagesse chinoise !
Longue et belle vie à « Et si Nexon m’était conté » !
Claude Balaize
J’ai découvert ce site par hasard il y a quelques temps. J’ai été »scotché » par la richesse, la clarté, la rigueur de chaque rubrique.
Bravo et merci !!!
J’ai retrouvé avec plaisir et émotion le nom de ma Mère Elise Pauzet qui a fait toute sa carrière d’institutrice à Nexon, nous habitions le logement de fonction durant l’année scolaire et nous »déménagions » aux »Vanneaux » de juillet à octobre où était la ferme de mon Père . Je n’ai malheureusement pas gardé de »copains » à Nexon car parti dés 10 ans en pension à St Yrieix nous ne revenions que pour les vacances scolaires et mes copains étaient de St Yrieix et surtout des environs du collège.
Il y a plus de 15 ans j’ai débuté des recherches généalogique, bloqué au niveau d’un mariage en 1690 je ne pense pas aller plus loin. Ma famille (coté) PAUZET est originaire du village de Chamessouze commune de Janailhac mais a »émigrée » aux Vanneaux commune de Nexon en 1840 : 1,5 km. seulement mais changement de bassin hydraulique du bassin de la Garonne au bassin de la Vienne !!!!.et ce jusqu’en 1974
Bien cordialement et encore merci
Bernard Pauzet
Ce n est sans doute pas la vocation de ce merveilleux site sur l histoire de Nexon de servir de lieu d échange entre Nexonnais, mais je ne peux résister à l envie de répondre à Bernard.
J ai fait toute ma scolarité à Nexon et passé une partie de mon enfance aux Vanneaux ou mes parents avaient une petite ferme, c est vous dire si j ai connu vos parents !
Il m arrive encore d aller a Nexon et d avoir une pensée émue pour la famille Pauzet. Pour votre soeur Marthe qui plus tard a eu une maison a Valette, votre frère Philippe qui avait fait l acquisition de la maison proche de l église de Nexon et pour vous même Bernard.
Avec la disparition de mes parents dans les années 90, j ai perdu les contacts avec votre famille
Bien cordialement
Jean Louis Penot
Il n’y a aucun problème pour communiquer par ce blog. Plus il est vivant plus la mission que je me suis fixée a du sens. Si vous trouvez des vieux papiers, des photos … sur Nexon, n’hésitez pas.
Cordialement.
Jean François NYS
J’avais eu l’occasion de découvrir votre site début 2020. Poursuivant mes recherches et les affinant « un peu », j’ai beaucoup apprécié la richesse de la documentation consacrée « aux Américains » à Nexon pendant la Grande Guerre.
Quel travail réalisé. J’ai appris énormément de choses.
Toutes mes félicitations renouvelées.
Bonjour,
Un Nexon dont je viens d’apprécier le livre :
Marc Nexon, La traversée de Pyongyang, Grasset
Bonjour,
Je rédige une histoire de la famille de Villoutreys, qui fut apparentée aux Gay de Nexon (Jacques de V. épouse en 1672 Jeanne de Gay de Nexon). D’après le « Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin » édité en 1891, les archives de M. le baron de Nexon contenaient plusieurs sceaux des Villoutreys : l’article en cite 7, qui avaient été communiqués à l’auteur de la communication par un certain M. Champeval. Je serai particulièrement intéressé pour avoir une reproduction de ces sceaux, s’ils existent toujours dans la collection de M. le baron de Nexon, et tout particulièrement du sceau n°305 (de l’article), qui est un écartelé figurant sur une lettre de 1769.
Je vous remercie infiniment de l’aide que vous pourriez apporter à ma petite étude.
Bien cordialement
Merci pour ce beau travail j’ai passé un moment très émouvant en regardant la photo du mariage de mes grands parents paternels que je n’avais jamais vue. J’ai partagé ce travail avec mes cousins qui passaient leurs vacances à Nexon. Merci et bravo
Merci Marie Françoise pour ton commentaire; Il justifie tout mon travail.
Bonjour , je suis Didier CHIBOIS fils de Robert et Irène CHIBOIS , je suis passé à NEXON ce Lundi de pentecôte. Tout d’abord je tiens à m’excuser auprès de Christian FRUGIER dit « BIZI » à qui j’avais promis de l’informer de ma venue mais ce ne fut qu’un passage qui de plus n’était pas prévu . Voilà plus de 30 ans que je n’avais pas revu mon village natal et ce fut un grand moment d’émotion . Bien sur , les commerces ont changé de propriétaires ou ont tout simplement fermé (en particulier les bistrots) mais que de souvenirs me sont revenus à l’esprit dont un que je tiens à vous conter .
Nous sommes en 1979 je laisse à mon père « ROBY » la voiture neuve qu’il m’a vendu il y a quelques semaines à la révision des 2500 Kms et je pars bosser à SOFRANCE avec des collègues . La révision terminée , mon père remonte la voiture à la station du 23 rue Gambetta ou officie ma mère . Mon frère Frédéric dit « FIC » qui n’a pas le permis de conduire propose de reculer la voiture car celle ci gêne devant le magasin mon père accepte avec toutes les recommandations d’usage . Malheureusement rien ne se passe comme prévu et c’est la borne « MICHELIN » qui stoppe cette marche arrière savante . La voiture a pris la forme de la borne et est partie à la casse , la borne elle est toujours là . Lundi lors de mon passage , je n’ai pas manqué d’aller me recueillir devant ce monument , il y a toujours l’infime impact du choc mais rien de grave .
Voilà sinon rien a changé la « casse toupie » monte toujours autant , le château est toujours aussi beau … Après un pique nique copieux à l’étang de La lande , mon épouse a souhaité elle aussi revoir la ville ou elle a passé sa jeunesse et son adolescence : ROCHECHOUART . Puis nous sommes rentrés en GIRONDE ou nous résidons actuellement . Je me suis juré de revenir mais pour quelques jours cette fois-ci afin d’essayer de rencontrer des copains , des connaissances , des clients à mes parents ……….etc . Allez à bientôt les Nexonnais et merci pour ce site sur lequel je navigue souvent.
Didier CHIBOIS .
Salut Didier; dommage que ton passage à Nexon soit passé inaperçu, pas grave, en tout cas merci pour l’anecdote de la borne Michelin dont je n’avais pas connaissance, je t’ais laisser un message sur ta boite mail.
A bientôt.
Mes grands-parents Pierre et Catherine BOUCHER née MOREAU ont été employé par la famille de Gay de Nexon à la Seylive puis au Château de La Garde où ils étaient respectivement jardinier pour mon grand-père et lingère pour ma grand-mère.
J’ai hérité des quelques cahiers journaliers qu’il tenait pour les travaux entretien du jardin et du château de La Garde.
J’ai passé de nombreuses vacances à La Garde et avenue de la Gare chez mes grands-parents MARQUET
Je reste à votre disposition pour échanger des souvenirs
Je découvre enfin ce site et j’y ai trouvé mon bonheur.
Le Moulin de La Mazaurie sur la commune de Nexon a été celui de mon arrière- arrière grand- père et j’ai eu plaisir d’y lire les commentaires qui enrichissent l’histoire de mon arbre généalogique.
Merci.
Merci Bénédicte pour ton beau commentaire. Le but de mon blog est de transmettre le plus d’informations possible afin de faire vivre la mémoire collective mais aussi celle des personnes. Je suis toujours triste quand j’entant une personne me dire : « ma grand mère, ou ma mère à tout fait bruler « . C’est pour que cette phrase de l’écrivain malien Amadou Hampâté Bâ, « En Afrique, un vieillard qui meurt, c’est une bibliothèque qui brûle », ne soit pas une réalité à Nexon.
Bonjour,
En décembre 2020, alors que je la sollicitais pour une recherche généalogique, la Mairie de Nexon en la personne fort courtoise et dévouée de Madame Martine Fougeras, m’a suggéré de prendre contact avec « Et si Nexon m’était conté ». Très peu de temps après avoir alors mis un message sur son site, Monsieur Jean-François Nys m’adressait divers documents qui, fruits de ses recherches personnelles dans les archives, répondaient parfaitement à ma quête familiale.
Mieux ! voilà qu’en cette fin d’août 2021, m’étant rendu sur place avec mon fils, « Nexon m’a été conté » et de la meilleure des façons, par Monsieur Nys en personne lequel, nous consacrant alors tout un après-midi, nous a commenté in situ l’histoire des lieux et notamment de l’église dont il s’était procuré les clefs pour la circonstance.
Qu’il soit, ici, à nouveau vivement remercié pour son dévouement et sa gentillesse !
Si bien que, Nexon est « redevenu » le lieu où l’arrière-grand-père Yrieix Balaize a, jusqu’en 1908, vécu et officié en qualité d’Agent Voyer et où, en 1941, est décédée l’arrière-grand-mère veuve Marie Balaize née Léonard.
Et, pour que cette quête de nos ancêtres conserve sens et pérennité, mon fils et moi avons fait totalement restaurer, par l’entreprise nexonnaise Barraud, l’antique tombeau familial sur lequel, désormais, notre descendance pourra (et devra !) se rendre.
Longue vie à ce beau et bon « Et si Nexon m’était conté » !
Claude et Jean-Louis Balaize
Merci monsieur BALAIZE,
Ce blog a pour but d’informer mais aussi de rendre service. Quand il permet à des lecteurs de retrouver les traces de personnes perdues de vue il a rempli son rôle. Ce fut un plaisir de passer un moment avec vous et votre fils sur les traces de votre arrière grand-père. Bien cordialement.
Merci beaucoup M. Balaize ce fut un réel plaisir de faire votre connaissance et d’avoir un peu contribué à mon petit niveau à finaliser vos recherches familiales
Bien à vous et merci à Jean François Nys pour sa grande connaissance du passé
L’origine du nom des Mazeaud (originaires de Saint-Yrieix : Le nom provient d’un mot gaulois qui signifiait « Boucher ». Il y avait à Champs (St Yrieix) un village qui s’appelait Mazeaud. Dans le journal du Sieur Jarrige, il est spécifié que Yrieix mazeau (ancêtre des Mazeau de St Yrieix) était boucher au XVIIème siècle.
Merci pour ces précisions étymologiques.
Bonjour, je découvre votre site par hasard en faisant des recherches de généalogie. Vraiment très intéressant et des photos bien trouvées, un super travail! je vais continuer de lire vos articles. Mais peut être pouvez vous m’aider je suis à la recherche du nom d’un docteur qui était à Nexon dans les années 1900/1910. Peut-être Malgache, je ne sais pas trop… L’arrière arrière grand mère de mon conjoint travaillait pour lui en 1905.
Merci en tout cas pour vos recherches et ce site.
Belle continuation à vous
Bonjour et merci pour l’intérêt que vous portez à mon Blog. En 1900 il y avait 2 médecins à Nexon, les docteurs FRUGIER et THOMAS et un officier de santé qui était également pharmacien , M. Bonnel. A partir de 1905 ils sont 4 : les docteurs Henri CUBERTAFON, Henri FRUGIER, Félix LELONG, Albert THOMAS.
Cordialement.
Jean François NYS
Merci pour votre aide précieuse.
Bonsoir,
Merci pour ce morceaux d’histoire, locataire récemment du 15 rue Gambetta (changement de propriétaire), je désirerais m’entretenir avec vous afin de pouvoir avoir l’autorisation pour la capture (voir la copie numérique) du bâtiment pour affichage dans la boutique actuellement installer (LB-informatique) pour garder l’historique de celle ci. En vous remerciant.
Cordialement
Vous pouvez utiliser les éléments du chapitre que j’ai consacré à la rue Gambetta. En créant ce blog mon objectif était de faire connaitre et faire partager. A votre tour faites connaitre mon blog et ainsi il s’enrichira. Cordialement.
Jean François NYS
Bonjour,
Mes arrieres grands-parents se sont mariés à Nexon en 1910 et la photo de groupe avait été prise devant le « Café de l’avenue de la gare » (ecrit sur le panneau au dessus de la devanture du café)
Pourriez vous me dire où se trouvait ce café? est ce que la maison existe toujours ?
Merci de votre aide
Cdt
Francis
Bonsoir,
Je reçois un long commentaire à mon billet (contenant seulement un renvoi à votre site)
https://saintyrieixlaperche.wordpress.com/2014/11/24/et-si-nexon-metait-conte-le-blog-de-jean-fancois-nys/comment-page-1/#comment-14704
Ce commentaire est pour vous.
Bonjour,
J’ai découvert, le blog de Jean-Fançois Nys « Et si Nexon m’était conté » que j’ai pu apprécier.
Née en 1960, j’ai vécu à NEXON jusqu’à mon adolescence…
Pour des recherches généalogiques, serait-il possible de connaître les noms des enfants de la classe de CE1 de M. GRAFEUILLE , le deuxième rang en partant du bas.
Avec mes remerciements.
Merci pour l’intérêt que vous portez à mon blog.
Je vais vous répondre par mail.
Cordialement.
Passionnantes recherches.
Alain Perinet
Merci Alain. Tu es sur la bonne voie. Tournée générale…
Bravo pour ce site remarquable…
Bonjour,
Peut-être n’avez-vous pas appris le décés le 21 juillet 2021 au Vigen de Mme Janine Bories, qui a contribué à votre blog quant à la rue du Nord o elle est née et où sa mère était coiffeuse.
Cordiales salutations.
Merci pour cette information. Je me souviens des messages de Mme Bories.
Bonjour
En vidant la maison de ma mère suite à son décès , j’ai retrouvé des vieux bulletins municipaux de Nexon et ça commence avec le n° 1 ( août 1961 ) . Je ne sais pas si tu les as déjà vus sinon ça peut être intéressant , je ne les ai que peu regardé mais il y a des choses surprenantes , l’ouverture de la chasse à courre ( septembre 67 ) . Avec mon frère nous sommes prêts à t’en faire don si ça t’intéresse . J’ai également des photos succeptibles de t’intéresser, photos de classe , de fête d’école, de cavalcade et bien sûr des intentions mais il faut que je scanne tout ça .
Cordialement
Didier Buisson
Bonjour Monsieur ,
Je vous félicite pour votre travail .
Je souhaite apporter certains éclaircissements concernant la partie Frugier /Bonnafy.
Pouvez vous me fournir une adresse mail pour vous envoyer un courrier à ce titre .
Cordialement
C’est encore moi.
J’ai visité Oradour lors d’une descente vers le Sud pour les vacances.
J’ai eu la surprise de voir que Mme Binet née Gibaud Andrée Anna à Nexon le 5/3/1914, institutrice publique dans ce funeste village, faisait partie des victimes assassinées par la « Das Reich »le 10 juin 1944.
Or je n’ai pas en mémoire l’existence d’une stèle, d’un nom de rue etc… rappelant la mémoire de cette courageuse martyre.
Cordiales salutations.
Jacques Péquériau
Bonjour,
Je réponds à votre commentaire du mois dernier sur le site »L’actualité Nouvelle Aquitaine » que je découvre à l’instant.
Oui, je vous confirme que Stéphane Weiss a bien utilisé ma documentation (je figure d’ailleurs dans ses remerciements en début d’ouvrage) et cette source apparaît dans le livre sous l’acronyme AFJB (archives familiales Jean Bourrel), c’est-à-dire celle de mon père (auquel je consacre des recherches sur son parcours de 1939 à 1946, notamment au sein du groupe Alsace Lorraine à compter de mars 1943 à Périgueux. Il en était l’un des agents de liaison).
L’auteur a également utilisé le fruit de mes recherches personnelles comme en témoigne la quatrième de couverture du livre représentant une des photos, vierge de tout renseignement, retrouvées dans la maison familiale à Périgueux. C’est suite à une longue enquête, y compris sur les lieux, que j’ai pu identifié Henri Cartier Bresson et l’américain Thomas Dugan qui lance à ce moment même la carrière du commandant Cousteau. La Fondation Henri Cartier Bresson s’est empressée de récupérer ces documents, de mettre à jour la biographie d’HCB et, sur les indications de Stéphane Weiss et de moi-même (à distance), de corriger les légendes des planches contacts que le célèbre photographe a consacrées au front de Royan (et que, la Fondation situait en Bretagne). Au final, et sans même nous remercier, la fondation HCB nous a… refusé toute utilisation de ces clichés, dont certains représentent des »légendes » du maquis périgourdin (notamment les organisateurs de l’attaque du train de la Banque de France à Neuvic sur l’Isle en juillet 44) …
S’agissant de Bussière-Galant, il reste chez la fille du président de l’amicale Gambetta près de Bussière, Félix Mouly, un fond d’archives concernant la période limousine du corps-franc du capitaine Rouby. Elles n’ont pas été encore exploitées . Le neveu de Félix, Gaetan Mouly, fait partie de la municipalité de BG et est joignable au 06.76.12.04.88.
Pour être complet, j’ai retrouvé et suis entré en contact avec les familles Bassaler (l’un des premiers adjoints de Rouby. Originaire de Limoges ou Châlus, ses archives ont malheureusement disparu et il n’a laissé aucune trace) et du capitaine Rouby lui-même. J’ai même lié amitié avec deux de ses petits-fils (franco-américains) très actifs dans la défense de la mémoire de leur grand-père.
Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire ou simplement pour discuter.
Je suis notamment à la recherche du photographe du Populaire du Centre qui a réalisé un reportage photo sur Rouby en avril 45 aujourd’hui introuvable (possiblement la remise par le général de Gaulle de la croix de la Libération sur son lit d’hôpital). Contacté par mes soins, le journal n’a pas su me renseigner.
Bien à vous,
Franck Bourrel
06.75.73.72.76
Bonjour à tous, C’est encore Boucif, je voulais partager avec vous un souvenir qui m’a beaucoup marqué. Il s’agit de l’article « QUELQUES SOURIRES » au sujet de monsieur René LASPOUGEAS.
Ce monsieur était vraiment gentil, et je garde un très bon souvenir des moments où nous, mes copains d’école et moi, avons eu la chance de croiser sa route.
Avec mes camarades, nous avons eu l’opportunité de monter plusieurs fois sur sa charrette. C’était génial car cela nous permettait de rentrer plus vite à la maison. Je me souviens encore du son régulier des sabots du cheval de monsieur LASPOUGEAS, c’était vraiment une expérience unique !
Ces petits moments simples restent gravés dans ma mémoire, et je voulais partager avec vous à quel point ils peuvent être importants et apporter beaucoup de bonheur, même des années plus tard.
merci pour ce témoignage. Les jeunes s’amusaient à faire partir le cheval de Réné pendant qu’il buvait un coup au bistrot. Comme le cheval connaissait sa route il rentrait à l’ecurie sans son cocher…
Qu’il soit permis à l’étranger à Nexon que je suis d’exprimer mon admiration pour la tâche accomplie par M. Jean-François Nys afin de mieux faire connaitre le riche passé de sa ville natale.
Si je suis d’origine creusoise et donc étranger à Nexon, j’ai toutefois deux raisons d’être attaché à cette cité.
La première de ces raisons tient à mon cousin Jean-Marie Brugeas dont je garde fidèlement le souvenir. Un homme original, un peu artiste et très attachant qui, dans ses jeunes années, n’hésita pas à risquer sa vie en luttant contre l’occupant nazi. Et un homme qui, au soir de sa vie, perdit ses deux fils de façon dramatique. Les routes de la Haute-Vienne étaient alors bien dangereuses pour les jeunes gens amateurs de vitesse…
La seconde raison tient au grand-père de mon épouse, nommé Joseph Gaudeix, issu d’une vieille famille nexonnaise attachée au baron de Nexon dont elle s’occupait des chevaux. Ledit grand-père, devenu instituteur et passablement « laïcard », rompit cependant avec son père et son frère ainé pour aller exercer à distance … à Ambazac et à Limoges. La vie familiale n’est pas toujours un fleuve tranquille, y compris dans le Limousin !
Merci pour ce témoignage qui confirme que l’image qu’a laissée Jean Marie Brugeas oublie une partie de sa personnalité.