C’est à partir de la Constitution Civile du Clergé du 12 juillet 1790 que les maires qui portent alors le nom d’agents municipaux, sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles.Sont électeurs les citoyens actifs de la commune, c’est à dire ceux qui payent une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
Avec cette Constitution le maire a reçu de nombreuses attributions qui appartenaient auparavant au curé, souvent la seule personne dans les villages sachant lire et écrire. Il n’est pas étonnant qu’aux élections communales de février 1790 un certain nombre de curés ont été élus maires (en Bretagne 20% des maires seront des curés). Dans beaucoup de communes ce sera le médecin ou le notaire. C’était au préfet de trouver dans chaque commune un laïc capable d’assurer les fonctions de maire. Mais beaucoup de préfets se plaignent de ne pas trouver personne. Le Ministère leur demande alors de prendre le moins ignorant.
La constitution du 22 août 1795 (5 fructidor), met en place les municipalités cantonales. Chaque commune élit dorénavant un agent municipal qui participe à l’administration de la municipalité cantonale. L’agent municipal passe sous l’autorité des « présidents des municipalités cantonales ».
Sous le Consulat, la constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799) revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants, par le Premier Consul pour les autres.
Avec la loi municipale du 28 pluviôse an VIII (17 février 1800), l’appellation de maire revient et remplace celle d’agent municipal.
La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Avec la Seconde République (1848-1851) les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants. Les maires des chefs-lieux d’arrondissement, de département et les villes de 10 000 habitants et plus, continuent d’être nommés par le préfet.
Pendant le Second Empire (1851-1871) les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
A partir de 1871 les maires sont élus par le conseil municipal sauf pour les chefs-lieux de département et de canton et les villes de plus de 20 000 habitants où le maire reste nommé par le préfet.
Une loi du 5 avril 1884 étend le principe de l’élection du maire et des adjoints par le conseil municipal, quelle que soit l’importance de la commune (sauf pour Paris). Elle fixe le mandat à quatre ans, durée portée le 10 avril 1929 à six ans. Cette loi est toujours celle qui s’applique. Elle n’a pas été appliquée sous le régime de Vichy où les maires des communes de plus de 10 000 habitants étaient nommés par le gouvernement, ceux des communes de 2000 à 10 000 habitants, par le préfet. Seuls les maires des communes de moins de 2000 habitants étaient élus par le conseil municipal.
Entre élection et nomination…
Quand un pouvoir nomme un maire celui-ci est aux ordres de ce pouvoir. Ce pouvoir change de couleur politique avec le temps. Il royaliste ou républicain, parfois bonapartiste. Lorsqu’il est nommé le maire doit prêter serment de fidélité à celui qui le nomme: l’Empereur, le roi… ou le maréchal Pétain.
Puisque ce maire a été nommé il peut être révoqué. Cela se passe à chaque changement de régime. La révocation est un pouvoir discrétionnaire sous le Premier et le Second Empire. Elle se fait sur avis du Conseil d’État sous la Deuxième République, par décret motivé depuis 1884 et par décret en Conseil des ministres depuis 1982.
Depuis la promulgation de la loi du 28 mars 1882 sur l’organisation municipale qui nous régit encore, le maire est élu par le conseil municipal. Afin d’éclairer le choix des électeurs, il est convenu que la tête de liste aux élections municipales sera normalement la personne que les futurs conseillers municipaux choisiront pour maire. Le choix du maire ne dépend plus du pouvoir central mais de ses électeurs.
Depuis 1e 12 février 1790 Nexon a connu 23 maires. certains ont été réélus plusieurs fois et ont dirigé la commune pendant de nombreuses années. Pour d’autres le passage a été court.
C’est René REBIERE qui détient le record de longévité. Il a dirigé la commune pendant 30 ans, de mars 1965 à juin 1995. Deux autres maires ont exercé leur mandat pendant plus de 20 ans: Jean-Baptiste LIMOUSIN pendant 29 ans ( de juillet 1848 à septembre 1870 puis d’avril 1871 à février 1878) et Albert BOUTAUD LACOMBE maire pendant presque 25 ans (de novembre 1918 à janvier 1943).
Le mandat le plus court a été celui de Pierre SIRIEIX qui a démissionné au bout de 2 mois pour raison de santé. D’autres mandats ont duré moins d’un an, ceux d’Henry LIMOUSIN en 1848, de Roger GAUMY en 1944 et de Mathurin PAULIAT en 1945.
Liste des maires
Jean Baptiste FAYE, médecin, proclamé maire le 12 février 1790, élu au district de Saint-Yrieix il démissionne le 8 septembre 1790 .
Pierre SIRIEIX, élu le 11 septembre 1790. Démission pour un mois le 23 Brumaire an 2 (13 novembre 1793).
François Louis GUYOT, nommé le 30 nivôse an II (19 janvier 1794).
Jean MAZELLE, nommé le 5 septembre 1806 reste quelques mois.
François Louis GUYOT redevient maire au début de l’année 1807. Il le restera jusqu’à son décès brutal le 8 février 1824.
Charles de DAVID, Baron des ÉTANGS, nommé le 11 mars 1824.
Antoine TARRADE, délégué à la place du maire malade, le 9 septembre 1824.
Charles de DAVID, Baron des ÉTANGS, renommé le 26 décembre 1825.
Armand CUBERTAFOND, notaire, nommé le 20 août 1830.
Arnould CUBERTAFOND, nommé le 11 janvier 1834.
Arnould CUBERTAFOND, nommé le 6 juin 1837.
Henry LIMOUSIN, nommé le 27 février 1848.
Jean-Baptiste LIMOUSIN, élu le 8 juillet 1848.
Jean-Baptiste LIMOUSIN, nommé le 17 juillet 1852.
Jean-Baptiste LIMOUSIN, nommé le 14 juin 1855.
Jean Baptiste LIMOUSIN, nommé le 14 juillet 1860.
Jean Baptiste Paulin LIMOUSIN, désigné le 10 septembre 1870. Frère de Jean Baptiste Henry Limousin.
Jean Baptiste LIMOUSIN, élu le 30 avril 1871.
Jean Baptiste BONNET, nommé le 19 février 1878.
Jean Baptiste BONNET, désigné le 13 février 1881
Jean Baptiste BONNET, élu le 18 mai 1884.
Armand Ferréol GAY de NEXON, élu le 20 Mai 1888.
Gabriel THOMAS, élu le 15 mai 1892.
Gabriel THOMAS, élu le 17 mai 1896.
Gabriel THOMAS, élu le 15 mai 1900.
François LELONG, élu le 15 mars 1904.
François LELONG, élu le 24 janvier 1907.
François LELONG, élu le 8 mai 1908.
François LELONG, élu le 5 mai 1912.
Albert BOUTAUD LACOMBE, élu le 30 novembre 1919.
Albert BOUTAUD LACOMBE, élu le 17 mai 1925.
Albert BOUTAUD LACOMBE, élu le 12 mai 1929.
Albert BOUTAUD LACOMBE, élu le 19 mai 1935.
Albert BOUTAUD LACOMBE, désigné le 1 mars 1941.
François LAPLAUD, désigné le 15 janvier 1943. Démission du conseil le 3 sept 1944.
Roger GAUMY, élu le 22 sept 1944 par un conseil désigné.
Mathurin PAULIAT, élu le 18 mai 1945, démissionne le 17 mars 1946 suite à la perte de confiance du conseil.
Louis Jean PRADEAU, élu le 31 Mars 1946.
Louis Jean PRADEAU, élu en mai 1953.
Louis Jean PRADEAU, élu en mars 1959.
René REBIERE, élu en mars 1965.
René REBIERE, élu en mars 1971.
René REBIERE, élu en mars 1977.
René REBIERE, élu en mars 1983.
René REBIERE, élu en mars 1989.
Liliane JAMIN, élue en juin 1995.
Liliane JAMIN, élue en mars 2001.
Liliane JAMIN, élue en mars 2008.
Fabrice GERVILLE-REACHE, élu en mars 2014.
Le premier Maire
Le 11 février 1790, le sieur Jean Baptiste FAYE, docteur en médecine, a été proclamé Maire de la paroisse de Nexon.
La première délibération du Conseil assemblé chez le Maire, à défaut, est-il dit, de maison commune, eut lieu le 12 Février 1790.
Cette élection s’est faite en plusieurs temps.
Premier temps : les officiers Municipaux avaient été nommés par procès-verbal des 8 et 9 Février, le choix ayant été particulièrement difficile par l’assemblée de la paroisse réunie sous l’inspection de Jean BONNET, Maréchal Chef des Officiers du Comité, le sieur FAYE, réunissant presque tous les suffrages, fut élu Président et le sieur GUYOT, notaire Royal, pour la charge de secrétaire. Ces deux personnes ont prêté serment de soutenir de tous leurs pouvoirs la constitution du Royaume et d’être fidèles à la Nation, à la loi et au Roi. L’assemblée prêta le même serment.
Dans un deuxième temps furent désignés trois scrutateurs, toujours à la majorité des voix, en la personne des sieurs DESTHIVER, curé de la paroisse de Nexon, Nicolas GIZARDIN, notaire et Annet TARRADE, chirurgien.
Le président fit observer que, conformément aux ordres reçus de Paris il fallait distinguer parmi les citoyens ceux qui pouvaient être élus de ceux qui ne pouvaient qu’élire et le secrétaire dressa une liste des membres de l’assemblée.
Dans le troisième temps, aussitôt et séance tenante, il fut procédé à l’élection du Maire par bulletin individuel au scrutin secret. Ce fut le sieur FAYE Jean Baptiste, Docteur en Médecine qui obtint la grande et absolue majorité des suffrages.
Le quatrième temps consista, par un autre scrutin individuel et secret d’élire le PROCUREUR de la COMMUNE. Le sieur Louis GUYOT, notaire Royal, fut élu.
Dans un cinquième temps le Président Maire, déclara que la paroisse comptant près de 2 500 âmes, il était nécessaire de désigner cinq Officiers Municipaux par scrutin de liste. La pluralité absolue des suffrages se porta sur Pierre SIRIEIX marchand, Annet TARRADE chirurgien, Jean de COULHAC meunier, Léonard PRADEAU au bourg et Pierre SAZERAT, huissier au bourg.
Enfin la sixième opération, après quelque repos, fut de procéder à l’élection de douze notables pour former le Conseil Général de la Commune. Furent élus à la majorité : Jean LAFARET ainé du Plantadis ; Jean JOUHAUD dit Renard, de Bosmarèche ; Jean DOUDET dit Le JALAP d’Excette ; Léonard CHIROL de Valeix ; Jean LASPOUGEAS des Moulins ; Martial BAUDOU de Biard ; Pierre JOUHAUD dit Tonichou, d’Excette ; Jean GUYOT dit Bigarot, de Valeix ; Jean VERGNON dit Leliard, de Noyéras ; Jean JAYAT dit Cadichou, de Lartissie ; Pierre MARTY dit Pierricaud, de Noyéras et Denis DESCHAMPS de Biard.
Puis ont été déclarés notables de NEXON les sieurs Jean DESPLANCHES dit Planchaud, de Sallas ; Léonard DUVERNEIX dit le Roudier, de Montezol et GAREAU de Biard, et en même temps suppléants en cas d’événement. Ce fut au tour du Procureur de la Commune de prendre la parole. Il expose qu’un grand nombre des habitants de la paroisse serait bien aise que la Municipalité autorisa l’établissement de la Garde Nationale dans le bourg de NEXON, et, qu’au gré de tout le monde, elle serait composée d’un commandant, d’un major, d’un aide-major, de quatre capitaines en premier, de quatre capitaines en second, de quatre lieutenants et de quatre compagnies composées de 32 hommes chacune, dont une de grenadiers.
Les officiers municipaux et le Conseil Général de la commune dressèrent une liste des personnes susceptibles de faire partie de la Garde Nationale.
1824 – NÉCROLOGIE de Joseph Guyot, décédé brutalement. Annales de la Haute-Vienne 13 février 1824.
Une mort prompte et prématurée vient d’enlever, presque à la fleur de l’âge, M. Joseph Guyot, maire de Nexon , et notaire à la suite de ses pères. Ce coup terrible brise les liens de la plus douce union, et ravit un père à de tendres enfants. Il n’en eut pas fallu davantage pour jeter la consternation parmi les habitants de cette contrée ; mais leur douleur s’augmente encore par le souvenir des vertus modestes et des qualités précieuses, dont leur infortuné compatriote leur donna l’exemple pendant sa trop courte carrière.
Ils n’oublieront jamais le zèle éclairé et la probité, sévère jointe au plus parlait, désintéressement qu’il leur prodigua dans l’exercice de ses doubles fonctions ; et si une pensée consolante sur le sort de ce malheureux père de famille s’offre encore à leur esprit, c’est celle qui leur laisse la persuasion, qu’à ses derniers moments , il a dû éprouver la douce satisfaction de n’avoir fait que le bien , et celle plus douce encore , de transmettre à ses enfants l’exemple d’une vie pure et sans reproche.
1832 – Nomination des maires et adjoints : Nexon. — Maire, M. Cubertafond ; adjoint, M. Tarrade Chatenet. Annales de la Haute-Vienne 29 juin 1832
1855 – Le maire perd son fils -Jean Baptiste Léo Limousin, décède le 14 septembre 1855 à Nexon à l’age de 19 ans. Son père, Jean Baptiste Paulin (1806-1881), propriétaire à Nexon, était marié avec Louise Tarrade. Ils n’avaient pas d’autres enfants. Le maire avait un frère, Jean Baptiste Henry (1809-1886) qui fut médecin à Nexon. Il a eu deux filles. Il a été lui aussi,maire de Nexon.
1855 – Par décret impérial du 14 juin, ont été nommés maires et adjoints des villes et communes ci après du département de la Haute-Vienne : Nexon – maire, M. Limousin ; adjoint, M. Desmaisons;
1865 -Par décret impérial, sont nommés maires et adjoints des villes ci-après : Maire : M. Limousin, Jean-Baptiste-Henri. — Adjoint : M. Demaison, Guy. Le Courrier du Centre 31 août 1865
1867 – Par décret impérial, M. Gizardin a été nommé adjoint du maire de Nexon. Le Courrier du Centre 23 avril 1867
1870 – Par divers arrêtés de M. le préfet de la Haute-Vienne, M. Limousin (Paulin) a été nommé maire de Nexon, en remplacement de M. Limousin (Jean-Baptiste-Henri), docteur en médecine;
1874 – Nomination du maire par décrets du 31 janvier rendus en conseil des ministres : Nexon: maire, M. Limousin, adjoints MM. Boutaud-Lacombe et Combrouze. le même décret nomme Othon Péconnet maire de Limoges. Le Temps 3 février 1874.
1878 – Par décret du 15 février, sont nommés maires ou adjoints au maire des chefs-lieux de canton suivants de la Haute-Vienne : Nexon. — Maire : M. Jean-Baptiste Bonnet ; adjoints : MM. Boutaud-Lacombe, Alfred Desmaison.
Election aux conseils généraux de 1880, profession de foi de M. Bonnet, maire de Nexon, candidat au conseil général, adressée aux électeurs du canton de Nexon : Électeurs, cédant aux instances d’un grand nombre d’entre vous, je pose ma candidature au conseil général. Si j’obtiens de vous le mandat que je sollicite, je me consacrerai avec le plus entier dévouement à la défense des intérêts matériels et moraux de notre département et particulièrement à ceux du canton de Nexon. Enfant du pays, né et élevé au milieu de vous, mes opinions politiques et mes sentiments pour vous n’y sont pas inconnus. Aujourd’hui, comme hier, je suis convaincu que la République est le seul gouvernement désormais possible en France et le seul capable de nous garantir le maintien de la paix, de l’ordre et de la liberté. BONNET, Maire de Nexon et conseiller d’arrondissement. Le Courrier du Centre 29 juillet 1880.
Elections de 1881 : Nous rétablissons ainsi qu’il suit la liste complète des candidats élus à Nexon d’après le document ci-dessous que nous communique M. Bonnet, maire de Nexon : Inscrits : 791. — Votants : 379. MM. Jean Chirol, 371 ; Léonard Guyot, 371 : Martial Nardot, 370; Jacques Perrier, 369 ; Jean Desplanches 368 ; Firmin Tarrade, 368; Jean-Baptiste Bonnet, 367; Paulin Limousin, 365 ; Louis Boutaud-Lacombe, 365 ; Antoine Jouhaud, 364; Léon Laspougeas, 359; Henri Frugier, 357 : Albert Thomas, 357 ; Martial Villoutreix, 354; David Laleu, 353 ; Pierre Lauzeille, 351 ; René Tarrade, 345 ; François Chaule, 330 ; François Faure, 299 ; Théophile Vergnolle, 285. Le Courrier du Centre 15 janvier 1881.
Avril 1888, M. Bonnet annonce qu’il ne se représentera pas aux futures élections pour raison de santé.
M. Bonnet renonce à se présenter pour raison de santé par une lettre au Courrier du Centre du 25 avril 1888 : L’honorable M. Bonnet, conseiller général et maire de Nexon nous adresse la lettre suivante : J ai l’honneur d informer mes concitoyens de la commune de Nexon que je décline toute candidature aux élections prochaines du conseil municipal. Je remercie bien sincèrement les électeurs qui avaient l’intention de m’honorer de leurs suffrages mais pour raison de santé, je ne peux accepter aucun renouvellement de mandat. Le maire de Nexon, B. Bonnet.
Aux élections de mai 1892, les républicains l’emportent. Gabriel Thomas est élu en remplacement du Baron A. de Nexon. Les adjoints sont également républicains.
A Limoges, le docteur Chénieux, également républicain, remplace Emile Labussière, radical socialiste.
15 Août 1897 , M. Gabriel Thomas, agriculteur, maire de Nexon, est nommé officier du mérite agricole. Il était chevalier depuis le 17 mai 1891.
1903 – Par arrêté de M. le ministre des finances, en date du 28 décembre 1903, M. Gabriel Thomas, conseiller général de la Haute-Vienne, maire de Nexon, est nommé percepteur-receveur à Aixe-sur-Vienne, en remplacement de M. Simon, décédé.
1911, démission du Maire. — Nous apprenons que M. Lelong, maire de Nexon, vient de donner sa démission à la suite de divergences de vues entre l’administration municipale et le conseil au sujet de la construction d’un groupe scolaire. Le Populaire du centre 18 janvier 1911
Réélection : M. Lelong, expert, a été réélu maire. Le Populaire du Centre 8 mars 1911
Est nommé chevalier de la Légion d’honneur, au titre du ministère de l’Intérieur, M. Boutaud-Lacombe, maire de Nexon. Le Populaire du Centre 10 août 1930
1925 – REMERCIEMENTS. — Mme François Lelong ; Mlle Françoise Lelong et toute la famille, dans l’impossibilité de répondre personnellement à toutes les marques de sympathie qui leur ont été témoignées, soit en assistant aux obsèques, soit par l’envoi de fleurs, couronnes et condoléances, à l’occasion du décès de leur regretté Monsieur François LELONG, Propriétaire expert, Ancien maire de Nexon, Président du Syndicat agricole du canton de Nexon, Délégué cantonal, prient les personnes qui les leur ont exprimées de trouver ici l’expression de leurs remerciements émus. Le Populaire du Centre 3 mars 1925
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