Noël en Limousin

Noël est un mot qui vient du latin natalis que l’on utilise à l’occasion de la fête de la naissance du soleil, le dies natalis solis invicti, « jour de la naissance du soleil invaincu ». On trouve cette étymologie dans la plupart des langues romanes comme dans l’italien natale, l’occitan nadal ou nadau, le catalan nadal, le portugais natal… Dans les langues celtiques le mot utilisé pour désigner Noël dérive également du latin natalis ce qui donne en gallois Nadolig et en breton Nedeleg dont découle le patronyme Nédélec.

En revanche, pour désigner cette fête les anglais utilisent le mot Christmas qui vient du vieil anglais « crīstes mæsse » tandis qu’en allemand on dit Weihnachten construit à partir de l’expression en vieux haut allemand ze wîhen nachten « dans les nuits sacrées ». On trouve cette même transposition d’une fête païenne à une fête chrétienne dans les pays scandinaves où Noël se dit jól en islandais, jul en norvégien, suédois et danois.

En Limousin, Noel est sans doute la fête la plus importante, en tout cas la plus gaie. C’est la fête de la naissance de l’enfant, elle est donc douce et joyeuse.

« Nadau, Nadau, nadau,

Qu’ei notro grando feito »

Noel, Noel, Noel

C’est notre grande fête.

Il y a peu de cartes de Noel  éditées à Limoges. J’ai cette carte de J. Faissat qui souhaite un bon réveillon, mais pour savoir qu’il s’agit de celui de Noël il faut lire la légende « Noël Limousin ». Sur une autre carte, la même jeune fiche, dans la même pose souhaite une bonne année. La carte est expédiée de Limoges le 23 décembre mais l’année n’est pas lisible, en tout cas c’est entre 1905 et 1910.

J’ai trouvé cette carte sans doute éditée en Autriche envoyée à Emile Tombelaine à Nexon, le 24 décembre 1910. Des flocons de neige tombent sur cette maman et sa fille sous le regard de leur chien.

carte-noel-nexon

Pourquoi fête-t-on Noël le 25 décembre ?

En premier lieu, rappelons-nous que la célébration de la naissance de Jésus est une pratique très tardive qui n’apparaît que vers l’an 300. Avant cette date, les Chrétiens considèrent qu’il y a des choses bien plus importantes à fêter que la naissance d’un bébé, fût-il fils de Dieu. À cette même époque, justement, se propage dans l’Empire romain un culte païen qui inquiète beaucoup l’Église : le Dieu Mithra, divinité indo-iranienne apparue vers 1500 ans avant Jésus-Christ, jouit d’un regain d’intérêt et est vénéré partout dans le bassin méditerranéen. À tel point que l’empereur Aurélien envisage d’en faire le dieu officiel de l’Empire (et on imagine d’ici à quel point Jupiter et sa clique devaient fulminer en entendant pareille ineptie…) ! En 274, il officialise donc cette religion et érige même à Rome un splendide temple dédié à Mithra.

C’est vers 336 que la date du 25 décembre a été choisie comme date pour la fête de Noël pour la substituer aux fêtes païennes comme la fête de la renaissance du Soleil Invaincu (Sol Invictus) du culte à Mithra, le solstice d’hiver et les Saturnales romaines qui étaient toutes célébrées aux environs du 25 décembre.

En 425, l’empereur d’Orient Théodose II codifie officiellement les cérémonies de la fête de Noël. Cette commémoration se répand progressivement en Gaule et en Orient et devient un jour important dans le calendrier. Clovis est baptisé le soir de Noël d’une année comprise entre 496 et 499, Charlemagne est couronné empereur par le pape le jour de Noël de l’an 800, Guillaume le Conquérant est couronné roi d’Angleterre à l’abbaye de Westminster le jour de Noël 1066.

En 506, le concile d’Agde fait de Noël une fête d’obligation et en 529, l’empereur Justinien en fait un jour chômé.

La popularité de cette fête a fait que Noël est devenu un patronyme et un prénom dans de nombreuses langues.

Avec la laïcisation de la société, les festivités liées à Noël ont été progressivement déconnectées de l’interprétation religieuse. Les vacances scolaires au moment de Noël permettent aux membres d’une même famille de se réunir, de décorer la maison, de réveillonner, d’échanger des cadeaux…Dans les villes les rues et les vitrines des magasins sont décorées dès le début du mois de décembre, le père Noël est présent sur les marchés … mais comment cela se passait autrefois ?

La bûche de Noël, ( la còssa de nadau, lo cosso dé nadao)

Dans toute l’Europe du Nord, et pas seulement en Limousin, se pratiquait le rituel de la buche de Noel. On célébrait l’arrivée du solstice d’hiver, le moment ou les jours sont les plus courts, autour du 21 et du 22 décembre.

Les jours vont rallonger, ce que traduisent de nombreux dictons avec des variances selon les régions. A Nexon comme à Chalus on dit : « pour Noel les jours se rallongent d’un pied de coq. » Dans le Sud on dit : « A Noël, les jours rallongent d’un pas d’hirondelle, aux Rois, d’un pas d’oie et à la Chandeleur, d’une heure ». Dans les régions du Nord, c’est : « A la sainte Luce les jours allongent d’un saut de puce et pour la noël d’un pied de coq » ou « A la Sainte Luce les jours croissent du saut d’une puce, à la Noël du saut d’un baudet et aux Rois on s’en aperçoit ».  La sainte Luce étant fêtée le 13 décembre, il n’est pas vrai que les jours rallongement à partir de cette date. C’était vrai dans le calendrier Julien avant qu’en 1582 le Pape Grégoire XII le réforme et ajoute 10 jours au nouveau calendrier. En effet la sainte Lucie (du latin Lucia qui signifie « lumière ») est la fête de la lumière. Lucie serait née en 286 dans une riche famille sicilienne. Elle amenait de la nourriture la nuit aux chrétiens persécutés qui se cachaient dans les grottes. Pour être libre de ses mains elle mettait sur sa tête une couronne sur laquelle brûlaient des bougies. Elle a été dénoncée par un jeune païen aux avances duquel elle n’a pas voulu céder. Condamnée à être prostituée les gardes venus la chercher pour la conduire au bordel n’ont pas pu la déplacer, une force invisible la clouait au sol. Une paire de bœufs n’a pas eu plus de succès. On la jeta dans un bûcher mais les flammes ne parvinrent pas à l’atteindre. . .. Et il fallut lui plonger un glaive dans la gorge pour la faire mourir. Bien que Sainte Lucie soit née en Sicile, elle est fêtée en Suède, au Danemark et en Norvège plus qu’en Italie.

Comme le solstice annonçait l’arrivée de la période hivernale, chaque foyer brûlait de grosses bûches de bois pour marquer le début de l’hiver. On coupait une grosse bûche et on la ramenait en famille à la maison et tout le monde se retrouvait de manière conviviale autour du feu.

Vers le douzième siècle, la pratique fut reprise par l’Église catholique qui donna un caractère chrétien à ce rituel. Les bûches étaient bénites avant d’être brûlées. Le feu devait être alors alimenté de manière à brûler du 24 décembre au soir, jusqu’à l’épiphanie. Selon les traditions, c’était aux jeunes filles de la famille ou au plus âgé que revenait la responsabilité d’allumer la bûche, à l’aide de restes de tisons des bûches du Noël précédent, précieusement gardés. Dans le Limousin les braises de la bûche étaient parées de nombreuses vertus, en particulier d’éloigner la foudre ou de favoriser la fertilité aussi on en mettait sous le lit, dans l’étable, dans la bergerie… On en gardait dans un pot de terre, le toupi, pour les mélanger aux semences du printemps.

En Limousin plusieurs explications sont données à cette tradition de la bûche de Noël. Pour les uns c’est pour permettre à l’enfant Jésus, ou à sa mère Marie, de se réchauffer pendant cette froide nuit d’hiver, pour d’autres c’est pour qu’il puisse y voir clair en arrivant chez les gens.

La bûche de Noel n’est pas de n’importe quel bois. Il s’agissait souvent de chêne, de hêtre, de bouleau, de prunellier (lou pruniassou ou bouéïssou négré en occitan), chaque coin avait son essence d’arbre traditionnel pour ça… mais le plus souvent en Limousin c’était l’aubépine, lou bouéïssou blanc ou eïpino blancho.

La tradition de la bûche a disparu avec le remplacement des cheminées par les poêles en fonte et les cuisinières puis l’installation du chauffage central. La grosse bûche fut alors remplacée par une petite bûche de bois, parfois rehaussée de chandelles et de verdure, qu’on plaçait au centre de la table comme décoration de Noël.

Aujourd’hui, la bûche de Noël est devenue une pâtisserie, un gâteau roulé, glacé de crème au café ou au chocolat et décoré de feuilles de houx et de roses en sucre puis, de plus en plus une bûche glacée.

Le sapin de Noël.

La coutume du sapin de Noël semble remonter à la Renaissance dans les pays germaniques. Certains pensent que les origines sont plus anciennes car, de tout temps, l’arbre a été considéré comme symbole du renouveau de la vie. Le sapin et l’épicéa, conifères à feuilles persistantes, le buis ou le laurier rappellent depuis longtemps ce symbolisme de la renaissance lors du solstice d’hiver.

Le christianisme a largement contribué au succès du sapin de Noel. On dit que saint Colomban qui avait fondé en 590 le monastère de Luxeuil au pied des Vosges, ayant emmené avec lui des moines au sommet de la montagne où se trouvait un antique sapin, objet de culte païen, ceux-ci accrochèrent leurs lanternes et leurs torches et dessinèrent une croix lumineuse au sommet. Des paysans vinrent voir ce spectacle et Colomban pu en convertir. La coutume des sapins illuminés était lancée.

On retrouve ce sapin d’influence chrétienne dans les mystères du Moyen Age qui ont souvent pour décor un arbre de Noël. Dès le XVe siècle, ce sapin illuminé est dressé dans les sièges des corporations et les hôpitaux en Allemagne. Puis il est installé dans les foyers des familles bourgeoises protestantes tandis que les familles catholiques se différencient en montant la crèche de Noël.

Cette tradition protestante scandinave et germanique se répand rapidement. Au XVIIe dans les campagnes, les bougies en cire étant onéreuses elles sont remplacées par des papillotes en forme de fleurs en papier multicolore et à partir du XVIIIe siècle les décorations se multiplient. En France, cette tradition du sapin décoré se limite à l’Alsace protestante. Mais lorsque l’Alsace rejoint la mère patrie en 1919 la tradition du sapin de Noël va se répandre dans l’hexagone. Mais c’est surtout après la deuxième guerre mondiale que le sapin de noël s’installe dans toutes les familles du Limousin.

Selon la tradition le sapin était monté la veille de Noel et il était défait le jour de l’épiphanie.

La messe de minuit.

Chaque famille était représentée à la messe de minuit. Pour s’y rendre on marchait en s’éclairant de torches de paille (les blandous), de « branchons » de paille allumés, plus pour éloigner les mauvais esprits et… les bandits de grands chemins que pour s’éclairer.

La messe était célébrée en langue limousine et tous les participants chantaient dans cette langue les cantiques de Noël, les « nadalets ». Ce mot occitan signifiant « petits Noëls » désignait au départ les sonneries de cloches pratiquées chaque année durant les jours précédant la fête de Noël. Chaque village avait sa manière de sonner le Nadalet. Il dépendait des cloches dont disposait l’église. Avec la quasi disparition de ces sonneries, l’habitude a été prise de désigner sous l’appellation de nadalets les cantiques de Noël chantés en occitan.

Les noëls chantés en Corrèze furent recueillis et étudiés par Ernest Rupin (1845-1909), archéologue fondateur de la Société Scientifique, Historique et Archéologique de la Corrèze et du musée de Brive, dans un ouvrage publié en 1898, « Noëls du Bas-Limousin ». Nous n’avons pas l’équivalent en Haute-Vienne. Certains nous sont parvenus grâce au travail de l’abbé Simonaud-Dubreuil (1808-1889), curé d’Aureil et au journal La Croix de Limoges, supplément hebdomadaire à La Croix de Paris qui en a publié certains comme  Lou soleil de justiço , « le Soleil de Justice ».

Lou soleil de justiço

Refrain

Lou soleil de justiço

Et nacu queto ne

Di no paubro batisso,

A l’houro de miene,

Entre un bio,un ane

L’eichiorân de lour lei ;

Soû paubre piti membre

Sou tout jola de frei.

I

Visa lou di l’etablo

Toû li ei refusa.

Un Di quei tant amiable,

L’ovei tant rebuta !

Jesu, notre boun meitre

O nou tann aima,

Quo o vougu paraitre

Din un si pûbre cita.

II

Chou ! Chou ! pas de credado.

Veiqui trei rei puissan…

Lour teito ei courounado !

I venen d’Orian !

Co neitriâ o lur mino

Qui soun be bien furni,

Per pô de lo famino

I an leur perveisi!

III

N’io mâ quauquâ bargeirâ

Ni mai quauque peisan

Que quiten lour chariera

Per veire quel efant !

La disen : « Qu’au ei genté !

« Quo ei beu ! coum’au ri !

« Vierjo, Di vous vountente,

« Lou gardei de pati ! »

IV

I riben vers lo creicho

E sei perdre de ten,

Sur lo paillo gro fraicho,

I placen lour presen.

Per nou, ce qu’au domando,

Quei ni or, ni argen,

Ma au vo per offrando

Notre cœur soulomen.

V

Noû soun toû en prejeiro,

Ecoutâ-nous, Jesu.

Que jomai lo misero

Ne nou oflijo pu.

Dô mau, dô mechan mounde,

Gardâ-nou, ô moun Di!

Que votre grâchio aboundo

Sur noû. Enci-soti.

 

On peut écouter des messes avec des chants par les Velhadors de Sent Junian et des sermons en limousin enregistrés par Robert Dagnas qui était président du groupe folklorique « Los velhadors», sur le site de l’Institut d’Études Occitanes du Limousin : http://la-biaca.org/

A l’adresse suivante il s’agit d’une messe enregistrée à Saint Laurent sur Gorre.

http://la-biaca.org/component/muscol/Z/69-informateurs-multiples/223-messe-de-minuit-des-bergers-limousins.html

 

Le réveillon.

La messe ayant effectivement lieu à minuit on prenait un souper avant d’y aller. Selon les régions il était plus ou moins important. Le plus souvent on faisait un repas léger car c’était un jour maigre. On mangeait des crêpes en Ile de France, en Bourgogne. . . ; des gaufres dans l’Est ou des châtaignes rôties accompagnées de vin chaud ; en Auvergne et en Limousin une soupe, dans la Charente, la Saintonge, des huîtres ou des escargots… C’est dans le Sud, en Provence et dans le comté de Nice que les repas sont plus importants et que l’on parle de « gros souper ». Lire le Manuel de folklore français contemporain, tome 1 vol 7 cycle des douze jours : Noël d’Arnold van Gennep.

Le jour de Noel, comme pour tous les repas de fête en Limousin il y avait sur la table des plats confectionnés à base du porc tué en décembre, de pommes de terre, de châtaignes et des galetous. Il n’y avait ni foie gras, ni huîtres, ni dinde ! Il n’y avait pas non plus en Limousin de pain de Noël ni de tourte de Noël garnis de fruits secs comme en Alsace mais on confectionnait dans certaines familles une galette en pâte à pain cuite la veille de Noël. Elle était censée avoir des vertus magiques. Elle soignait aussi bien les hommes que les bêtes malades.

Dans la plupart des cas on prévoyait une part de plus que de convives, c’était la part du pauvre.

La crèche.

Elle met en en scène la naissance de Jésus décrite dans le Nouveau Testament. C’est Saint François d’Assise (1181-1226) qui aurait créé la première crèche en 1223, dans son église de Grecchio. Il aurait fait tenir les rôles des personnages de la Nativité par des habitants du village. Il a mis dans la crèche un bœuf et un âne, animaux qui ne figurent ni dans l’évangile de Luc ni celui de Mathieu lorsqu’ils racontent la naissance de Jésus. Pour contrer le développement du protestantisme l’Eglise catholique au Concile de Trente en 1563 est revenu à la rigueur des textes et a interdit la représentation du bœuf et de l’âne

Petit à petit, la coutume se répand et on aurait progressivement remplacé les personnes vivantes par des figurines en cire, en terre cuite, en porcelaine ou encore en plâtre. Les premières crèches proches de celles que nous connaissons ne sont apparues qu’aux alentours du XVIe siècle, dans les églises. Un peu plus tard, au XVIIe siècle serait née la crèche familiale. En France, la Révolution, en interdisant les crèches publiques, a favorisé le développement des crèches familiales dont les santons de Provence sont venus enrichir le décor.

Le père Noel.

En Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Autriche…dans le Nord de de la France et en Lorraine on fête le 6 décembre la Saint Nicolas, patron et protecteur des petits enfants. Il fait le tour des villes pour récompenser les enfants sages. Il est accompagné du Père Fouettard qui punit les enfants qui ne sont pas sages.

Aux Etats-Unis où il est arrivé avec les immigrés, saint Nicolas va peu à peu se métamorphoser. En 1822, le pasteur Clément Clarke Moore, dans un poème intitulé « A Visit from St Nicholas », présente Saint Nicolas comme un lutin bien en chair, jovial, fumant la pipe, qui distribue les cadeaux en se déplaçant sur un traîneau tiré par huit rennes. A partir de 1850, les Anglais commencent à abandonner la célébration de la Saint Nicolas pour fêter Noël. Mais le succès planétaire viendra en 1931 lorsque le dessinateur Haddon Sundblom utilise l’image du bonhomme jovial en habit rouge dans une campagne publicitaire de Coca-Cola. Il s’agissait d’inciter les consommateurs à acheter des bouteilles de Coca Cola en plein hiver.

pere-noel-coca

 

Les cadeaux.

La tradition des cadeaux est récente. Le texte de la carte mise au début ce cet article est écrit par une cousine au petit Emile. Elle écrit : »J’espère que le petit Noel va t’apporter tout ce que tu as demandé. Aussi soit bien sage et ne te réveille pas la nuit pour ne pas lui faire peur au moment ou il serait en train de mettre les bonbons ». Donc déjà en 1910 on parle du « petit Noel », des cadeaux et des bonbons. mais ce n’est qu’après la Première guerre mondiale que l’on commence à mettre les sabots devant la cheminée. Les parents y mettaient le plus souvent une pomme, souvent bien rouge, des châtaignes blanchies ou des pralines puis ce furent des oranges. J’ai connu ces Noëls ou les oranges décoraient la table de la salle à manger…

Articles et Ouvrages :

Noëls et nadalets dans la tradition du Haut-Limousin, Michel Tintou, Lemouzi, n° 10, 1964, p. 31-34.

La Société rurale traditionnelle en Limousin : ethnographie et folklore du Haut-Limousin et de la Basse-Marche, A. Goursaud. G.-P. Maisonneuve & Larose, 1976

Traditions populaires du Limousin, Michel Desforges, Lucien Souny (1998)

Manuel de folklore français contemporain, tome 1. Cycle des douze jours, volume 8, A. van Gennep aux éditions A et J Picard (2000)

Le livre de Noël, fêtes et traditions de l’Avent à la Chandeleur, Nadine Cretin chez Flammarion (2001).

Les Noëls de nos régions, Marie-Odile Mergnac aux éditions Archives et Culture (2009).

 

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